Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Eternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ?
Toutefois, ce qui doit vous réjouir, ce n’est pas de voir que les esprits mauvais vous sont soumis, mais de savoir que vos noms sont inscrits dans le ciel.
Par conséquent, si ton œil droit te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-le au loin, car il vaut mieux pour toi perdre un de tes organes que de voir ton corps entier précipité en enfer.
Jésus, vous ne l’avez pas vu, et pourtant vous l’aimez ; mais en plaçant votre confiance en lui sans le voir encore, vous êtes remplis d’une joie glorieuse et inexprimable, car vous obtenez en retour votre salut qui est le but de votre foi.
Mais l’ange, s’adressant aux femmes, leur dit : Vous autres, n’ayez pas peur ; je sais que vous cherchez Jésus, qui a été crucifié. Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché.
Comme il est beau de voir |sur les montagnes les pas du messager |d’une bonne nouvelle, qui annonce la paix, qui parle de bonheur, et qui annonce le salut, qui dit à Sion : « Ton Dieu règne. »
Car j’ai le vif désir d’aller vous voir pour vous transmettre quelque don de la grâce, par l’Esprit, en vue d’affermir votre foi, ou mieux : pour que, lorsque je serai parmi vous, nous nous encouragions mutuellement, vous et moi, par la foi qui nous est commune.
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité.
Mais attention, mes chers amis, ne vous fiez pas à n’importe quel esprit ; mettez les esprits à l’épreuve pour voir s’ils viennent de Dieu, car bien des prophètes de mensonge se sont répandus à travers le monde.
En effet, si l’un de vous veut bâtir une tour, est-ce qu’il ne prend pas d’abord le temps de s’asseoir pour calculer ce qu’elle lui coûtera et de vérifier s’il a les moyens de mener son entreprise à bonne fin ?
Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle que lui offrent ces gens ?
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
Débarrassez-vous donc de tout ce qui souille et de tout ce qui reste en vous de méchanceté, pour recevoir, avec humilité, la Parole qui a été plantée dans votre cœur, car elle a le pouvoir de vous sauver.
C’est pourquoi, endossez l’armure que Dieu donne afin de pouvoir résister au mauvais jour et tenir jusqu’au bout après avoir fait tout ce qui était possible.
Car pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ, ce qui importe, ce n’est pas d’être circoncis ou incirconcis, c’est d’avoir la foi, une foi qui agit par amour.
Qui s’abrite auprès du Très-Haut, repose sous la protection |du Tout-Puissant. Je dis à l’Eternel : |« Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! »