Si j’avais des prophéties, si je connaissais tous les secrets et si je possédais toute la connaissance, si j’avais même dans toute sa plénitude, la foi jusqu’à transporter les montagnes, sans l’amour, je ne serais rien.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Retourne auprès d’Ezéchias, le chef de mon peuple, et dis-lui : « Voici ce que déclare l’Eternel, le Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière et j’ai vu tes larmes. Je vais te guérir. Après-demain, tu pourras te rendre au temple de l’Eternel. »
Mais moi je t’offrirai |un sacrifice |en disant ma reconnaissance, et je m’acquitterai |des vœux que j’ai formés, car c’est de l’Eternel |que vient la délivrance.
Je t’ai donné cet ordre : Prends courage et tiens bon, ne crains rien et ne te laisse pas effrayer, car moi, l’Eternel ton Dieu, je serai avec toi pour tout ce que tu entreprendras.
Le vainqueur, je le ferai siéger avec moi sur mon trône, comme moi-même, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône après avoir remporté la victoire.
Si même je sacrifiais tous mes biens, et jusqu’à ma vie, pour aider les autres, au point de pouvoir m’en vanter, sans l’amour, cela ne me servirait de rien.
Si vous obéissez à mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, tout comme moi-même j’ai obéi aux commandements de mon Père et je demeure dans son amour.
En effet, si je parlais les langues des hommes et même celles des anges mais sans avoir l’amour, je ne serais rien de plus qu’une trompette claironnante ou une cymbale bruyante.
Car je n’ai pas honte de l’Evangile : c’est la puissance de Dieu par laquelle il sauve tous ceux qui croient, les Juifs en premier lieu et aussi les non-Juifs.
Car le Seigneur a bien défini notre mission lorsqu’il a dit : Je t’ai établi pour que tu sois |la lumière des autres peuples, et pour que tu portes le salut |jusqu’aux extrémités de la terre.
L’Eternel dit à Moïse : Monte vers moi sur la montagne et tiens-toi là. Je te donnerai les tables de pierre sur lesquelles j’ai transcrit la Loi et les commandements pour que tu les enseignes au peuple.
Je sais qu’il n’y a rien de bon pour l’homme hormis se réjouir et se donner du bon temps durant sa vie. Et aussi que si quelqu’un peut manger et boire et jouir du bonheur au milieu de son dur labeur, c’est un don de Dieu.
Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin.
Je me suis laissé consulter par des personnes |qui ne demandaient rien, et je me suis laissé trouver par des personnes |qui ne me cherchaient pas. J’ai dit : « Je suis là, je suis là ! » aux gens d’un peuple |qui n’était pas appelé par mon nom.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Tout ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture comme les légumes et les plantes : je vous donne tout cela. Toutefois, vous ne mangerez pas de viande contenant encore sa vie, c’est-à-dire son sang.
Enfin, frères et sœurs, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui est vertueux et mérite louange.