Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Quant à vous tous qui m’écoutez, voici ce que je vous dis : Aimez vos ennemis ; faites du bien à ceux qui vous haïssent ; appelez la bénédiction divine sur ceux qui vous maudissent ; priez pour ceux qui vous calomnient.
C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ?
On te l’a enseigné, ô homme, |ce qui est bien et ce que l’Eternel |attend de toi : c’est que tu te conduises |avec droiture, que tu prennes plaisir |à la bonté et que tu vives dans l’humilité |avec ton Dieu.
A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu’un irait-il jusqu’à mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l’amour qu’il a pour nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu au sujet de tout ce qu’ils avaient vu et entendu : c’était bien ce que l’ange leur avait annoncé.
Car, Celui qui souhaite aimer la vie et voir des jours heureux qu’il veille sur sa langue |pour ne faire aucun mal, et pour qu’aucun propos menteur |ne passe sur ses lèvres. Qu’il fuie le mal |et fasse ce qui est bien ; qu’il recherche la paix |avec ténacité.
Mais il y a une différence entre la faute et le don de la grâce ! En effet, si la faute d’un seul a eu pour conséquence la mort de beaucoup, à bien plus forte raison la grâce de Dieu, don gratuit qui vient d’un seul homme, Jésus-Christ, a surabondé pour beaucoup.
L’homme qui est bon tire le bien du bon trésor de son cœur ; celui qui est mauvais tire le mal de son mauvais fonds. Ce qu’on dit vient de ce qui remplit le cœur.
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.
Car un jour dans tes parvis |vaut bien mieux que mille ailleurs. Plutôt rester sur le seuil |de la maison de mon Dieu, que de demeurer |sous les tentes des méchants.
Maintenant, si vous m’obéissez et si vous restez fidèles à mon alliance, vous serez pour moi un peuple précieux parmi tous les peuples, bien que toute la terre m’appartienne.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
Allez donc apprendre quel est le sens de cette parole : Ce que je veux, c’est la compassion bien plus que les sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Le peu que possède |celui qui est juste vaut bien mieux que la richesse |de nombreux méchants. Les méchants verront |leur pouvoir brisé, mais l’Eternel reste |le soutien des justes.
Car ton amour |vaut bien mieux que la vie, aussi mes lèvres chantent |sans cesse tes louanges. Oui, je veux te bénir |tout au long de ma vie, je lèverai les mains |pour m’adresser à toi.
Voyez ces oiseaux qui volent dans le ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent pas de provisions dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’avez-vous pas bien plus de valeur qu’eux ?