Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Mais pour ce qui nous concerne, il n’y a qu’un seul Dieu : le Père, de qui toute chose vient, et pour qui nous vivons, et il n’y a qu’un seul Seigneur : Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
Et tiens compte de ton Créateur |au temps de ta jeunesse, avant que t’adviennent |les jours mauvais et avant que viennent |les années dont tu te diras : « Je n’y prends pas plaisir ! »
Dieu les bénit en disant : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre, rendez-vous en maîtres, et dominez les poissons des mers, les oiseaux du ciel et tous les reptiles et les insectes.
Puis il dit : Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous pour décider du bien et du mal. Maintenant il ne faudrait pas qu’il tende la main pour cueillir aussi du fruit de l’arbre de la vie, qu’il en mange et qu’il vive éternellement. Alors l’Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden pour qu’il travaille le sol d’où il avait été tiré.
Il leur répondit : N’avez-vous pas lu dans les Ecritures qu’au commencement le Créateur a créé l’être humain homme et femme et qu’il a déclaré : C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un ? Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.