Ne faites donc rien par esprit de rivalité, ou par un vain désir de vous mettre en avant ; au contraire, par humilité, considérez les autres comme plus importants que vous-mêmes.
Puis il dit à tous : Gardez-vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d’un homme, si riche soit-il, ne dépend pas de ses biens.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Aussi, ô Eternel, |nous espérons en toi ; sur les voies que tracent tes lois, oui, tout notre désir |vers toi se porte, nous voulons te garder |présent à la pensée.
Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Eternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ?
Vous avez appris qu’il a été dit : Tu ne commettras pas d’adultère. Eh bien, moi je vous dis : Si quelqu’un jette sur une femme un regard chargé de désir, il a déjà commis adultère avec elle dans son cœur.
Qu’en pensez-vous maintenant ? Est-ce la faveur des hommes que je recherche ou celle de Dieu ? Mon désir est-il de plaire aux hommes ? Si je cherchais encore à plaire aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ.
Car j’ai le vif désir d’aller vous voir pour vous transmettre quelque don de la grâce, par l’Esprit, en vue d’affermir votre foi, ou mieux : pour que, lorsque je serai parmi vous, nous nous encouragions mutuellement, vous et moi, par la foi qui nous est commune.
Car ses désirs sont diamétralement opposés à ceux de l’Esprit ; et l’Esprit a des désirs qui s’opposent à ceux de l’homme livré à lui-même. Les deux sont opposés l’un à l’autre, c’est pourquoi vous ne pouvez pas être votre propre maître.
Vous convoitez beaucoup de choses, mais vos désirs restent insatisfaits. Vous êtes meurtriers, vous vous consumez en jalousie, et vous ne pouvez rien obtenir. Vous bataillez et vous vous disputez. Vous n’avez pas ce que vous désirez parce que vous ne demandez pas à Dieu.
Il en sera de même |de la parole que j’ai prononcée : elle ne reviendra |jamais vers moi à vide, sans avoir accompli |ce que je désirais et sans avoir atteint le but que je lui ai fixé.
Oui, ils ont délibérément échangé la vérité concernant Dieu contre le mensonge, ils ont adoré la créature et lui ont rendu un culte, au lieu du Créateur, lui qui est béni éternellement. Amen ! Voilà pourquoi Dieu les a abandonnés à des passions avilissantes : leurs femmes ont renoncé aux relations sexuelles naturelles pour se livrer à des pratiques contre nature. Les hommes, de même, délaissant les rapports naturels avec le sexe féminin, se sont enflammés de désir les uns pour les autres ; ils ont commis entre hommes des actes honteux et ont reçu en leur personne le salaire que méritaient leurs égarements. Ils n’ont pas jugé bon de connaître Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien qu’ils font ce qu’on ne doit pas.
Faites donc mourir tout ce qui, dans votre vie, appartient à la terre, c’est-à-dire : l’inconduite, l’impureté, les passions incontrôlées, les désirs mauvais et la soif de posséder – qui est une idolâtrie.
Ceux qui veulent à tout prix s’enrichir s’exposent eux-mêmes à la tentation et tombent dans le piège de nombreux désirs insensés et pernicieux qui précipitent les hommes dans la ruine et la perdition.
Ne prenez pas comme modèle le monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de votre intelligence, pour pouvoir discerner la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait.