Quant à vous, l’Esprit dont vous avez été oints par Christ demeure en vous. Vous n’avez donc pas besoin que l’on vous instruise, car cet Esprit dont vous avez été oints vous enseigne tout. Il est véridique, il ne ment pas. Restez donc attachés à cet enseignement tel que vous l’avez reçu de l’Esprit.
Suivez exactement le chemin que l’Eternel votre Dieu vous a prescrit, et vous vivrez heureux et vous jouirez d’une longue vie dans le pays dont vous allez prendre possession.
Que votre vie soit dirigée par l’amour, de même que Christ nous a aimés et a livré lui-même sa vie à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice dont le parfum plaît à Dieu.
Donnez, et l’on vous donnera, on versera dans le pan de votre vêtement une bonne mesure bien tassée, secouée et débordante ; car on emploiera, à votre égard, la mesure dont vous vous serez servis pour mesurer.
Vous femmes, en particulier, chacune à son mari, et cela par égard pour le Seigneur. Le mari, en effet, est le chef de sa femme comme Christ est la tête, le chef de l’Eglise qui est son corps et dont il est le Sauveur.
Et tiens compte de ton Créateur |au temps de ta jeunesse, avant que t’adviennent |les jours mauvais et avant que viennent |les années dont tu te diras : « Je n’y prends pas plaisir ! »
Sachez-le donc, mes frères, c’est grâce à lui que le pardon des péchés vous est annoncé ; c’est par lui que tout homme qui croit est acquitté de toutes les fautes dont vous ne pouviez pas être acquittés par la Loi de Moïse.
Celui qui fournit la semence au semeur et lui donne le pain dont il se nourrit vous donnera aussi, avec largesse, toute la semence nécessaire et fera croître les fruits de votre générosité.
Mais Dieu est riche en bonté. Aussi, à cause du grand amour dont il nous a aimés, alors que nous étions morts à cause de nos fautes, il nous a fait revivre les uns et les autres avec Christ. – C’est par la grâce que vous êtes sauvés.
Il a aussi le pouvoir de vous combler de toutes sortes de bienfaits : ainsi vous aurez, en tout temps et en toutes choses, tout ce dont vous avez besoin, et il vous en restera encore du superflu pour toutes sortes d’œuvres bonnes.
Déchirez votre cœur, |et non vos vêtements, et revenez à l’Eternel, |lui qui est votre Dieu. Car il est plein de grâce, il est compatissant et lent à la colère, il est riche en amour et il renonce volontiers |au malheur dont il avait menacé.
Et nous tous qui, le visage découvert, contemplons, comme dans un miroir, la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en son image dans une gloire dont l’éclat ne cesse de grandir. C’est là l’œuvre du Seigneur, c’est-à-dire de l’Esprit.
Si vous écoutez attentivement l’Eternel votre Dieu, et si vous faites ce qui est droit à ses yeux, si vous êtes attentifs à ses commandements et si vous obéissez à toutes ses lois, je ne vous infligerai aucune des maladies dont j’ai frappé les Egyptiens ; car je suis l’Eternel qui vous apporte la guérison.
S’il vous déplaît de servir l’Eternel, alors choisissez aujourd’hui à quels dieux vous voulez rendre un culte : ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate ou ceux des Amoréens dont vous habitez le pays ; quant à moi et à ma famille, nous adorerons l’Eternel.
Voilà pourquoi vous n’êtes plus des étrangers ou des résidents temporaires, vous êtes concitoyens des membres du peuple saint, vous faites partie de la famille de Dieu. Dieu vous a intégrés à l’édifice qu’il construit sur le fondement que sont les apôtres, ses prophètes, et dont Jésus-Christ lui-même est la pierre principale.
Voici comment savoir s’il s’agit de l’Esprit de Dieu : tout esprit qui reconnaît que c’est pleinement humain que Jésus est venu, vient de Dieu. Tout esprit, au contraire, qui ne reconnaît pas ce Jésus-là ne vient pas de Dieu. C’est là l’esprit de « l’anti-Christ » dont vous avez entendu annoncer la venue. Eh bien, dès à présent, cet esprit est dans le monde.
Mais j’ai été protégé par Dieu jusqu’à ce jour et je suis donc encore là pour apporter mon témoignage aux gens d’humble condition comme aux personnages importants. Et ce que je déclare, ce n’est rien d’autre que les événements dont les prophètes et Moïse ont annoncé l’accomplissement : c’est-à-dire que le Messie souffrirait, et qu’il serait le premier à ressusciter pour annoncer la lumière du salut, non seulement au peuple juif, mais aussi aux non-Juifs.
Quand tu passeras par les eaux, je serai avec toi, quand tu traverseras les fleuves, ils ne te submergeront pas, quand tu marcheras dans le feu, il ne te fera pas de mal et par les flammes tu ne seras pas brûlé.