Je suis le pain vivant descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement, et le pain que je donnerai, c'est mon corps, que je donnerai pour la vie du monde.
C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et je le reconnais bien.
C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les insultes, dans les détresses, dans les persécutions, dans les angoisses pour Christ, car quand je suis faible, c'est alors que je suis fort.
Si mon peuple, celui qui porte mon nom, s'humilie, prie et me cherche et s'il renonce à ses mauvaises voies, je l'écouterai du haut du ciel, je lui pardonnerai son péché et je guérirai son pays.
Je n’ai mangé aucune nourriture raffinée, il n'est entré ni viande ni vin dans ma bouche et je ne me suis pas parfumé jusqu'à la fin des trois semaines.
Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas caché ma faute. J’ai dit: «J’avouerai mes transgressions à l’Eternel», et tu as pardonné mon péché. – Pause.
Je demande à l’Eternel une chose, que je désire ardemment: je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Eternel, pour contempler la beauté de l’Eternel et pour admirer son temple.
L’Eternel est ma force et mon bouclier. C’est en lui que mon cœur se confie, et je suis secouru. Mon cœur est dans la joie, et je le loue par mes chants.
Vous suivrez entièrement la voie que l'Eternel, votre Dieu, vous a prescrite, afin de vivre et d’être heureux, de vivre longtemps dans le pays dont vous aurez la possession.