Pendant qu’il parlait ainsi, une nuée lumineuse les enveloppa, et une voix en sortit qui disait : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie. Ecoutez-le !
J’ai présenté à l’Eternel |un seul souhait, |mais qui me tient vraiment à cœur : je voudrais habiter |dans la maison de l’Eternel |tous les jours de ma vie afin d’admirer l’Eternel |dans sa beauté, et de chercher à le connaître |dans sa demeure.
Dès le matin, |annonce-moi |ta bienveillance, car c’est en toi |que j’ai mis ma confiance ! Fais-moi connaître |la voie que je dois suivre, car c’est vers toi |que je me tourne !
Alors Job se leva, il déchira son manteau, se rasa la tête, puis se jeta par terre pour se prosterner. Et il dit : Je suis sorti nu du ventre de ma mère, et j’y retournerai nu. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris : que l’Eternel soit béni !
O Eternel, |veuille agir en fonction |de la compassion |et de l’amour, qui te caractérisent |depuis toujours. Ne tiens plus compte |de ces péchés de ma jeunesse, |de mes fautes passées, mais traite-moi |selon ta grâce, car tu es bon |ô Eternel !
Je trouve ainsi ma joie dans la faiblesse, les insultes, la détresse, les persécutions et les angoisses que j’endure pour Christ. Car c’est lorsque je suis faible que je suis réellement fort.
Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père qui me les a données est plus grand que tous, et personne ne peut arracher qui que ce soit de la main de mon Père. Or, moi et le Père, nous ne sommes qu’un.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
S’il vous déplaît de servir l’Eternel, alors choisissez aujourd’hui à quels dieux vous voulez rendre un culte : ceux que vos ancêtres adoraient de l’autre côté de l’Euphrate ou ceux des Amoréens dont vous habitez le pays ; quant à moi et à ma famille, nous adorerons l’Eternel.
Si alors mon peuple qui est appelé de mon nom s’humilie, prie et recherche ma grâce, s’il se détourne de sa mauvaise conduite, moi, je l’écouterai du ciel, je lui pardonnerai ses péchés et je guérirai son pays.
En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde dominé par le mal a été crucifié pour moi, de même que moi je l’ai été pour ce monde.
Voici ce que j’ai considéré comme bon pour ma part : il est approprié pour l’homme de manger, de boire et de goûter au bonheur au milieu de tout le labeur qui lui donne tant de peine sous le soleil, pendant les jours que Dieu lui donne à vivre ; c’est là sa part.
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.
J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. Telle une couronne, la justice que Dieu accorde est déjà préparée pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me la remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue.
Il en sera de même |de la parole que j’ai prononcée : elle ne reviendra |jamais vers moi à vide, sans avoir accompli |ce que je désirais et sans avoir atteint le but que je lui ai fixé.
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.