Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit : « Je reconnaîtrai |devant l’Eternel |les péchés que j’ai commis. » Alors tu m’as déchargé |du poids de ma faute. Pause
Ma vie m’importe peu, je ne lui accorde aucun prix ; mon but c’est d’aller jusqu’au bout de ma course et d’accomplir pleinement le service que le Seigneur m’a confié c’est-à-dire de proclamer l’Evangile, ce message de la grâce de Dieu.
Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livré à la mort à ma place.
Alors, dans ma détresse, |j’invoquai l’Eternel. Vers mon Dieu, je lançai |mon appel au secours, mon cri parvint à ses oreilles et, de son temple, il m’entendit.
Je démontrerai ma sainteté, moi qui ai été profané parmi les autres peuples par votre faute, et ces peuples reconnaîtront que je suis l’Eternel – le Seigneur, l’Eternel, le déclare – quand je ferai éclater ma sainteté à leurs yeux par mon œuvre envers vous.