Que le Seigneur, |notre Dieu, nous accorde sa faveur ! Fais prospérer pour nous |l’ouvrage de nos mains ! Oh oui ! fais prospérer |l’ouvrage de nos mains !
Par la suite il les emmena hors de la ville jusqu’aux environs de Béthanie et là, élevant ses mains, il les bénit. Pendant qu’il les bénissait, il les quitta et fut enlevé au ciel.
Car ton amour |vaut bien mieux que la vie, aussi mes lèvres chantent |sans cesse tes louanges. Oui, je veux te bénir |tout au long de ma vie, je lèverai les mains |pour m’adresser à toi.
Tous les cieux proclament |combien Dieu |est glorieux, l’étendue céleste |publie l’œuvre de ses mains. Un jour en informe un autre, une nuit à l’autre nuit |en transmet la connaissance.
Après avoir entendu cela, ils furent baptisés au nom du Seigneur Jésus. Paul leur imposa les mains et le Saint-Esprit descendit sur eux : ils se mirent à parler dans diverses langues et à prophétiser.
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
Une femme oublie-t-elle |l’enfant qu’elle nourrit ? Cesse-t-elle d’aimer |l’enfant qu’elle a conçu ? Et même si les mères |oubliaient leurs enfants, je ne t’oublierai pas ! Voici, je t’ai gravée |dans le creux de mes mains, je pense constamment |à tes remparts.
C’est pourquoi ne nous attardons pas aux notions élémentaires de l’enseignement relatif à Christ. Tournons-nous plutôt vers ce qui correspond au stade adulte, sans nous remettre à poser les fondements, c’est-à-dire : l’abandon des actes qui mènent à la mort et la foi en Dieu, l’enseignement sur les différents baptêmes, l’imposition des mains, la résurrection et le jugement éternel.
Voici, nous montons à Jérusalem. Le Fils de l’homme y sera livré aux chefs des prêtres et aux spécialistes de la Loi. Ils le condamneront à mort, et le remettront entre les mains des païens pour qu’ils se moquent de lui, le battent à coups de fouet et le clouent sur une croix. Puis, le troisième jour, il ressuscitera.
Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
Et veillons les uns sur les autres pour nous encourager mutuellement à l’amour et à la pratique du bien. Ne délaissons pas nos réunions, comme certains en ont pris l’habitude. Au contraire, encourageons-nous mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez se rapprocher le jour du Seigneur.