Peuple adultère que vous êtes ! Ne savez-vous pas qu’aimer le monde, c’est haïr Dieu ? Si donc quelqu’un veut être l’ami du monde, il se fait l’ennemi de Dieu.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
En effet, tout ce qui fait partie du monde : les mauvais désirs qui animent l’homme livré à lui-même, la soif de posséder ce qui attire les regards, et l’orgueil qu’inspirent les biens matériels, tout cela ne vient pas du Père, mais du monde.
En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde dominé par le mal a été crucifié pour moi, de même que moi je l’ai été pour ce monde.
Car nous n’avons pas à lutter contre des êtres de chair et de sang, mais contre les Puissances, contre les Autorités, contre les Pouvoirs de ce monde des ténèbres, et contre les esprits du mal dans le monde céleste.
Dieu a porté son choix sur ce qui n’a aucune noblesse et que le monde méprise, sur ce qui est considéré comme insignifiant, pour réduire à néant ce que le monde estime important. Ainsi, aucune créature ne pourra se vanter devant Dieu.
Allez donc dans le monde entier, faites des disciples parmi tous les peuples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et enseignez-leur à obéir à tout ce que je vous ai prescrit. Et voici : je suis moi-même avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.
Jésus parla de nouveau en public : Moi, je suis la lumière du monde, dit-il. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres : il aura la lumière de la vie.
Je trouve ainsi ma joie dans la faiblesse, les insultes, la détresse, les persécutions et les angoisses que j’endure pour Christ. Car c’est lorsque je suis faible que je suis réellement fort.