Ah ! Seigneur Eternel ! C’est toi qui as créé le ciel et la terre par ta grande puissance, et en déployant ta force. Pour toi rien n’est trop extraordinaire.
Voici en quoi consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés ; aussi a-t-il envoyé son Fils pour expier nos péchés.
Tout m’est permis. Certes, mais tout n’est pas bon pour moi. Tout m’est permis, c’est vrai, mais je ne veux pas me placer sous un esclavage quelconque.
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Garde-toi de dire : « Comment se fait-il qu’autrefois, les choses allaient mieux qu’aujourd’hui ? » Car ce n’est pas la sagesse qui te dicte une telle question.
Plus on possède de biens, plus se multiplient les profiteurs. Et quel avantage en tire leur possesseur si ce n’est le spectacle que lui offrent ces gens ?
En effet, ce n’est pas par une volonté humaine qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est portés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.
Car nous n’avons pas à lutter contre des êtres de chair et de sang, mais contre les Puissances, contre les Autorités, contre les Pouvoirs de ce monde des ténèbres, et contre les esprits du mal dans le monde céleste.
Mais le jeune homme leur dit : N’ayez pas peur ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié ? Il est ressuscité, il n’est plus ici. Voyez l’endroit où on l’avait déposé.
Celui qui met sa confiance en lui n’est pas condamné, mais celui qui n’a pas foi en lui est déjà condamné, car il n’a pas mis sa confiance en la personne du Fils unique de Dieu.
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
Ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livré à la mort à ma place.
Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Eternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ?
Quel être humain peut savoir ce qui se passe dans un autre homme ? Seul l’esprit de cet homme en lui le sait. De même, nul ne peut connaître ce qui est en Dieu si ce n’est l’Esprit de Dieu.
Ne vous mettez pas avec des incroyants sous un joug qui n’est pas celui du Seigneur. En effet, ce qui est juste peut-il s’unir à ce qui s’oppose à sa loi ? La lumière peut-elle être solidaire des ténèbres ?
Car Dieu n’est pas injuste au point d’oublier l’activité que vous avez déployée, par amour pour lui, dans les services que vous avez rendus – et que vous rendez encore – à ceux qui font partie du peuple saint.
Car c’est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Cela ne vient pas de vous, c’est un don de Dieu ; ce n’est pas le fruit d’œuvres que vous auriez accomplies. Personne n’a donc de raison de se vanter.
C’est pourquoi, mes chers frères et sœurs, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est pas inutile.
Ce n’est pas vous qui m’avez choisi. Non, c’est moi qui vous ai choisis ; je vous ai donné mission d’aller, de porter du fruit, du fruit qui soit durable. Alors le Père vous accordera tout ce que vous lui demanderez en mon nom.
Si quelqu’un veut éprouver de la fierté, qu’il place sa fierté dans le Seigneur, déclare l’Ecriture. Ainsi, celui qui est approuvé, ce n’est pas l’homme qui se recommande lui-même, mais celui que le Seigneur recommande.
Nous le savons, en effet : si notre demeure, cette tente que nous habitons sur la terre, vient à être détruite, nous avons au ciel une maison que Dieu nous a préparée, une habitation éternelle qui n’est pas l’œuvre de l’homme.
Mais l’ange, s’adressant aux femmes, leur dit : Vous autres, n’ayez pas peur ; je sais que vous cherchez Jésus, qui a été crucifié. Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché.
Quand on vous emmènera pour vous traduire devant les autorités, ne vous inquiétez pas à l’avance de ce que vous direz, mais dites simplement ce qui vous sera donné au moment même : car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit Saint.
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.
Dans l’amour, il n’y a pas de place pour la crainte, car l’amour parvenu à une pleine maturité chasse toute crainte. En effet, la crainte suppose la perspective d’un châtiment. L’amour de celui qui vit dans la crainte n’est pas encore parvenu à sa pleine maturité.
Je vous donnerai un cœur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau, j’enlèverai de votre être votre cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair.
Si j’avais des prophéties, si je connaissais tous les secrets et si je possédais toute la connaissance, si j’avais même dans toute sa plénitude, la foi jusqu’à transporter les montagnes, sans l’amour, je ne serais rien.