Versets Biblique sur 'Or'
- Or, qui sait faire le bien et ne le fait pas se rend coupable d’un péché.
- Vous ne m’associerez aucune divinité, vous ne vous fabriquerez aucune idole en argent ou en or.
- Or le monde passe avec tous ses attraits, mais celui qui accomplit la volonté de Dieu demeure éternellement.
- Or, la vie éternelle consiste à te connaître, toi le Dieu unique et véritable, et celui que tu as envoyé : Jésus-Christ.
- Or s’il y a eu un médiateur, c’est qu’il y avait plus d’une partie en cause. Mais pour la promesse, Dieu seul est en cause.
- Or, Dieu nous l’a révélé par son Esprit ; l’Esprit, en effet, scrute tout, même les pensées les plus intimes de Dieu.
- Or le charme est trompeur |et la beauté fugace ;
la femme qui craint l’Eternel |est digne de louanges. - Or, notre espérance ne risque pas de tourner à notre confusion, car Dieu a versé son amour dans notre cœur par l’Esprit Saint qu’il nous a donné.
- Or, je vous le déclare, au jour du jugement les hommes rendront compte de toute parole sans fondement qu’ils auront prononcée.
- Celui qui commet le péché est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Or, le Fils de Dieu est précisément apparu pour détruire les œuvres du diable.
- Or il n’y a qu’un seul législateur et juge, celui qui peut sauver et faire périr. Mais pour qui te prends-tu, toi qui juges ton prochain ?
- Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.
- Or Dieu ne tient plus compte des temps où les hommes ne le connaissaient pas. Aujourd’hui, il leur annonce à tous, et partout, qu’ils doivent changer.
- Or tout ce qui a été consigné autrefois dans l’Ecriture l’a été pour nous instruire, afin que la patience et l’encouragement qu’apporte l’Ecriture produisent en nous l’espérance.
- Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or, la terre était chaotique et vide. Les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.
- Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit, avant qu’ils aient vécu ensemble.
- Que votre parure ne soit pas extérieure : cheveux habilement tressés, bijoux en or, toilettes élégantes, mais la parure cachée de l’être intérieur : la beauté impérissable d’un esprit doux et paisible, à laquelle Dieu attache un grand prix.
- Jésus était né à Bethléhem en Judée, sous le règne du roi Hérode. Or, des mages venant de l’Orient arrivèrent à Jérusalem. Ils demandaient : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile, et nous sommes venus lui rendre hommage.
- Or, durant leur séjour à Bethléhem, arriva le moment où Marie devait accoucher. Elle mit au monde un fils : son premier-né. Elle lui mit des langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce réservée aux hôtes.
- Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront et personne ne pourra les arracher de ma main. Mon Père qui me les a données est plus grand que tous, et personne ne peut arracher qui que ce soit de la main de mon Père. Or, moi et le Père, nous ne sommes qu’un.
- Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe.
Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie. - Les hommes livrés à eux-mêmes sont incapables de plaire à Dieu.
- Le Seigneur dont parle le texte, c’est l’Esprit, et là où est l’Esprit du Seigneur, là règne la liberté.
- Et qu’affirme ce témoignage ? Il dit que Dieu nous a donné la vie éternelle et que cette vie est en son Fils.
- Acquérir la sagesse vaut bien mieux que l’or pur,
et gagner en discernement est bien préférable à l’argent. - D’ailleurs, Christ lui-même nous a donné ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère.
- Eh bien, un homme a beaucoup plus de valeur qu’un mouton ! Il est donc permis de faire du bien le jour du sabbat.
- La foi est une façon de posséder ce qu’on espère, c’est un moyen d’être sûr des réalités qu’on ne voit pas.
- En fait, selon la Loi, presque tout est purifié avec du sang, et il n’y a pas de pardon des péchés sans que du sang soit versé.
- Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu nous porte et nous y avons cru. Dieu est amour : celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.
- Cependant, il sait bien |quelle voie j’ai suivie.
S’il me met à l’épreuve, |je sortirai pur comme l’or.
Car j’ai toujours suivi |la trace de ses pas.
J’ai marché sur la voie |qu’il a prescrite, |je n’en ai pas dévié. - Je veux que les femmes agissent de même, en s’habillant décemment, avec discrétion et simplicité. Qu’elles ne se parent pas d’une coiffure recherchée, d’or, de perles ou de toilettes somptueuses, mais plutôt d’œuvres bonnes, comme il convient à des femmes qui déclarent vivre pour Dieu.
- Vous avez été libérés de cette manière futile de vivre que vous ont transmise vos ancêtres et vous savez à quel prix. Ce n’est pas par des biens périssables comme l’argent et l’or. Non, il a fallu que Christ, tel un agneau pur et sans défaut, verse son sang précieux en sacrifice pour vous.
- Les coutumes des autres peuples |sont inutiles,
leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt,
travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur.
On l’embellit d’argent ou d’or,
un marteau et des clous |le font tenir en place
pour qu’il ne branle pas !
Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres :
ils ne savent parler,
il faut qu’on les transporte
car ils ne marchent pas.
Ne les craignez donc pas :
ils ne font pas de mal ;
et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien. - Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité !
Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu.
Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat !
Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ?
Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
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