Sonde-moi, ô Dieu, |pénètre mon cœur, examine-moi, |et pénètre les pensées |qui me bouleversent ! Considère si je suis |le chemin du mal et dirige-moi |sur la voie |prescrite depuis toujours !
Enfin, frères et sœurs, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui est vertueux et mérite louange.
Et il ajouta : Ce qui sort de l’homme, c’est cela qui le rend impur. Car c’est du dedans, c’est du cœur de l’homme que proviennent les pensées mauvaises, l’immoralité, le vol, le meurtre, les adultères, l’envie, la méchanceté, la tromperie, le vice, la jalousie, le blasphème, l’orgueil, et toutes sortes de comportements insensés. Tout ce mal sort du dedans et rend l’homme impur.
Car la Parole de Dieu est vivante et efficace. Elle est plus tranchante que toute épée à double tranchant et, pénétrant jusqu’à la division de l’âme ainsi que de l’esprit, et des jointures ainsi que de la moelle, elle juge les dispositions et les pensées du cœur.
Autant le ciel est élevé |au-dessus de la terre, autant les voies que je vous ai prescrites |sont élevées au-dessus de vos voies, et autant mes pensées |sont élevées loin au-dessus des vôtres.
Que le coupable |abandonne sa voie, et l’homme malfaisant |ses mauvaises pensées ! Et qu’il revienne à l’Eternel qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui lui accordera |un pardon généreux.
Quel être humain peut savoir ce qui se passe dans un autre homme ? Seul l’esprit de cet homme en lui le sait. De même, nul ne peut connaître ce qui est en Dieu si ce n’est l’Esprit de Dieu.
Ne prenez pas comme modèle le monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de votre intelligence, pour pouvoir discerner la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait.
Il faut cependant, frères et sœurs, que je vous adresse une recommandation instante, et c’est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je le fais. Vivez tous ensemble en pleine harmonie ! Ne laissez pas de division s’introduire entre vous ! Soyez parfaitement unis en ayant une même conviction, une même façon de penser !
Que personne ne se fasse d’illusions sur ce point. Si quelqu’un parmi vous se croit sage selon les critères de ce monde, qu’il devienne fou afin de devenir véritablement sage.
C’est pourquoi, tenez votre esprit en éveil et faites preuve de modération ; mettez toute votre espérance dans la grâce qui vous sera accordée le jour où Jésus-Christ apparaîtra.
C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ?
En vertu de la grâce que Dieu m’a faite, voici ce que je dis à chacun d’entre vous : n’allez pas au-delà de ce à quoi vous devez prétendre, tendez au contraire à une sage appréciation de vous-mêmes, chacun selon la part que Dieu lui a confiée.