Vous êtes le sel de la terre. Si ce sel perd sa saveur, avec quoi la salera-t-on ? Ce sel ne vaut plus rien : il n’est bon qu’à être jeté dehors et piétiné.
J’ai présenté à l’Eternel |un seul souhait, |mais qui me tient vraiment à cœur : je voudrais habiter |dans la maison de l’Eternel |tous les jours de ma vie afin d’admirer l’Eternel |dans sa beauté, et de chercher à le connaître |dans sa demeure.
Il leur répondit : N’avez-vous pas lu dans les Ecritures qu’au commencement le Créateur a créé l’être humain homme et femme et qu’il a déclaré : C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un ? Ainsi, ils ne sont plus deux, ils font un. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive.
Ce Fils est le rayonnement de la gloire de Dieu et l’expression parfaite de son être. Il soutient toutes choses par sa parole puissante et, après avoir accompli la purification des péchés, il s’est assis dans les cieux à la droite du Dieu majestueux.
Celui qui est la Parole est devenu homme et il a vécu parmi nous. Nous avons contemplé sa gloire, la gloire du Fils unique envoyé par son Père : plénitude de grâce et de vérité !
L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena à l’homme. Alors l’homme s’écria : Voici bien cette fois celle qui est os de mes os, chair de ma chair. On la nommera « Femme » car elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux ne feront plus qu’un.
L’Eternel a bâti |les marches de son trône dans le ciel ; il a fondé sa voûte |au-dessus de la terre : il convoque les eaux de l’océan, et les répand |sur la surface de la terre. Son nom est l’Eternel.
Si quelqu’un pèche en faisant sans le savoir l’une des choses que l’Eternel a interdites dans ses commandements, il sera tenu pour coupable et portera la responsabilité de sa faute.
Que le coupable |abandonne sa voie, et l’homme malfaisant |ses mauvaises pensées ! Et qu’il revienne à l’Eternel qui aura compassion de lui, à notre Dieu qui lui accordera |un pardon généreux.
Alors que nous étions ses ennemis, Dieu nous a réconciliés avec lui par la mort de son Fils ; à plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.
Tous ont péché, en effet, et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont déclarés justes par sa grâce ; c’est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ.
Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui appartienne à ton prochain.
Et pourtant, l’Eternel attend |le moment de vous faire grâce et il se lèvera |pour vous manifester |sa compassion, car l’Eternel est un Dieu juste. Heureux tous ceux |qui se confient en lui !
Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans sa grande compassion, il nous a fait naître à une vie nouvelle, pour nous donner une espérance vivante par la résurrection de Jésus-Christ.
Que le Seigneur, |notre Dieu, nous accorde sa faveur ! Fais prospérer pour nous |l’ouvrage de nos mains ! Oh oui ! fais prospérer |l’ouvrage de nos mains !
Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit, avant qu’ils aient vécu ensemble.
Tout ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture comme les légumes et les plantes : je vous donne tout cela. Toutefois, vous ne mangerez pas de viande contenant encore sa vie, c’est-à-dire son sang.
En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
Comme il est beau de voir |sur les montagnes les pas du messager |d’une bonne nouvelle, qui annonce la paix, qui parle de bonheur, et qui annonce le salut, qui dit à Sion : « Ton Dieu règne. »
Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière.