Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.
On te l’a enseigné, ô homme, |ce qui est bien et ce que l’Eternel |attend de toi : c’est que tu te conduises |avec droiture, que tu prennes plaisir |à la bonté et que tu vives dans l’humilité |avec ton Dieu.
C’est toi, Dieu de mes pères, que je célèbre et que je loue, tu m’as rempli |de sagesse et de force et tu m’as fait connaître |ce que nous t’avons demandé, tu nous as révélé |ce que le roi demande.
Tu ignores quel est le chemin du vent, et tu ne sais pas comment se forment les os de l’embryon dans le sein de sa mère ; de même, tu ne connais pas l’œuvre du Dieu qui fait toutes choses.
O Eternel, tu es mon Dieu, je te glorifierai |et je louerai ton nom car tu as accompli |des projets merveilleux, conçus de longue date, |sûrs et fiables.
Jésus lui répondit : Si tu veux être parfait, va vendre tes biens, distribue le produit de la vente aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi !
Oui, parce que tu m’es précieux, et que tu as du prix pour moi, |et que je t’aime, je donnerai des hommes |en échange de toi, et des peuples contre ta vie.
Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Combien est grande la bonté que tu tiens en réserve |en faveur de ceux qui te craignent, et que tu viens répandre, |sur ceux qui s’abritent en toi, au vu de tous les hommes.
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?
Moi, je chanterai ta force et, dès le matin, |j’acclamerai ton amour, car tu es pour moi |une forteresse, tu es mon refuge |quand je suis dans la détresse !
Et c’est de toi que viennent |la richesse et la gloire. Tu domines sur tout et dans ta main résident |la force et la puissance, tu détiens le pouvoir |d’élever qui tu veux |et de le rendre fort.
Et pourtant, Eternel, |toi, tu es notre père. Nous, nous sommes l’argile, et tu es le potier |qui nous a façonnés : nous sommes tous l’ouvrage |que tes mains ont formé.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.