Tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de vol ; tu ne porteras pas de faux témoignage ; honore ton père et ta mère, et tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Toi donc, qui que tu sois, qui condamnes autrui, tu n’as aucune excuse, car en condamnant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui les condamnes, tu te conduis comme eux.
Que ces commandements que je te donne aujourd’hui restent gravés dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants et tu en parleras chez toi dans ta maison, et quand tu marcheras sur la route, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
Quand tu passeras par les eaux, je serai avec toi, quand tu traverseras les fleuves, ils ne te submergeront pas, quand tu marcheras dans le feu, il ne te fera pas de mal et par les flammes tu ne seras pas brûlé.
L’ange lui dit alors : N’aie pas peur, Marie, car Dieu t’a accordé sa faveur. Voici : bientôt tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils ; tu le nommeras Jésus.
Mais même alors, dans ta grande compassion, tu ne les as pas complètement anéantis et tu ne les as pas abandonnés, car tu es un Dieu compatissant et qui fait grâce.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
En effet, des commandements comme : Tu ne commettras pas d’adultère ; tu ne commettras pas de meurtre ; tu ne voleras pas, tu ne convoiteras pas ; et tous les autres, se trouvent récapitulés en cette seule parole : Aime ton prochain comme toi-même.
Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
Pierre lui dit : Ananias, comment as-tu pu laisser Satan envahir à tel point ton cœur ? Tu as menti au Saint-Esprit en cachant le prix réel de ton champ pour en détourner une partie à ton profit ! N’étais-tu pas libre de garder ta propriété ? Ou même, après l’avoir vendue, ne pouvais-tu pas faire de ton argent ce que tu voulais ? Comment as-tu pu décider en toi-même de commettre une telle action ? Ce n’est pas à des hommes que tu as menti, mais à Dieu.
C’est pourquoi, mes chers frères et sœurs, soyez fermes, ne vous laissez pas ébranler, travaillez sans relâche pour le Seigneur, sachant que la peine que vous vous donnez au service du Seigneur n’est pas inutile.