Vous rendrez votre culte à l’Eternel votre Dieu. Alors je vous bénirai en vous donnant une nourriture excellente et de l’eau en abondance, et je vous préserverai des maladies.
Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix.
Je lui demande qu’il vous accorde, à la mesure de ses glorieuses richesses, d’être fortifiés avec puissance par son Esprit dans votre être intérieur. Que Christ habite dans votre cœur par la foi. Enracinés et solidement fondés dans l’amour.
Entrez par la porte étroite ; en effet, large est la porte et spacieuse la route qui mènent à la perdition. Nombreux sont ceux qui s’y engagent. Mais étroite est la porte et resserré le sentier qui mènent à la vie ! Qu’ils sont peu nombreux ceux qui les trouvent !
Mais ceux qui comptent |sur l’Eternel |renouvellent leur force : ils prennent leur envol |comme de jeunes aigles ; sans se lasser, ils courent, ils marchent en avant, |et ne s’épuisent pas.
Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de se tenir devant Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial.
Chantez à Dieu ! |Louez-le par vos chants ! Frayez la voie |de celui qui chevauche les nuées ! Son nom est « l’Eternel ». Exultez de joie devant lui ! Il est le père |des orphelins, |le défenseur des veuves. Oui, tel est Dieu |dans sa sainte demeure.
Quelqu’un, dit l’Eternel, |pourrait-il se cacher |dans un endroit secret sans que moi, je le voie ? Ne suis-je pas celui |qui remplit ciel et terre ? demande l’Eternel.
Que Dieu, source de toute patience et de tout encouragement, vous donne de vivre en plein accord les uns avec les autres, conformément à l’enseignement de Jésus-Christ.
Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il l’Esprit Saint à ceux qui le lui demandent.
Sonde-moi, ô Dieu, |pénètre mon cœur, examine-moi, |et pénètre les pensées |qui me bouleversent ! Considère si je suis |le chemin du mal et dirige-moi |sur la voie |prescrite depuis toujours !
Au contraire, la sagesse qui vient d’en haut est en premier lieu pure ; de plus, elle aime la paix, elle est modérée et conciliante, pleine de compassion ; elle produit beaucoup de bons fruits, elle est sans parti pris et sans hypocrisie.
Il faut cependant, frères et sœurs, que je vous adresse une recommandation instante, et c’est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je le fais. Vivez tous ensemble en pleine harmonie ! Ne laissez pas de division s’introduire entre vous ! Soyez parfaitement unis en ayant une même conviction, une même façon de penser !
Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Oui, mes frères et sœurs, vous avez été appelés à la liberté. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour vivre comme des hommes livrés à eux-mêmes. Au contraire, par amour, mettez-vous au service les uns des autres.
Maintenant donc, il n’y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ. Car la loi de l’Esprit qui nous donne la vie dans l’union avec Jésus-Christ t’a libéré de la loi du péché et de la mort.
Voyez combien le Père nous a aimés pour que nous puissions être appelés enfants de Dieu – et nous le sommes ! Voici pourquoi le monde ne nous reconnaît pas : c’est parce qu’il n’a pas reconnu Dieu.