Les commandements que je te donne aujourd'hui seront dans ton cœur. Tu les répéteras à tes enfants; tu en parleras quand tu seras chez toi, quand tu seras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
Une femme oublie-t-elle l'enfant qu'elle allaite? N'a-t-elle pas compassion du fils qui est sorti de son ventre? Même si elle l'oubliait, moi je ne t'oublierai jamais. Vois! Je t'ai gravée sur mes mains. Tes murailles sont constamment devant moi.
Certes, au premier abord, toute correction semble un sujet de tristesse, et non de joie, mais elle produit plus tard chez ceux qu’elle a ainsi exercés un fruit porteur de paix: la justice.
Voyez quel amour le Père nous a témoigné pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes! Si le monde ne vous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu, lui.
Si seulement ils avaient toujours ce même cœur pour me craindre et pour respecter tous mes commandements, afin d’être toujours heureux, eux et leurs enfants!
Respecte ses prescriptions et ses commandements, que je te donne aujourd'hui, afin d’être heureux, toi et tes enfants après toi, et de vivre longtemps sur le territoire que l'Eternel, ton Dieu, te donne en propriété perpétuelle.
Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons un jour n'a pas encore été révélé. Mais nous savons que, lorsque Christ apparaîtra, nous serons semblables à lui parce que nous le verrons tel qu'il est. Toute personne qui possède cette espérance en lui se purifie comme lui-même est pur.
Et vous n'avez pas reçu un esprit d'esclavage pour être encore dans la crainte, mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: «Abba! Père!»