Béni soit l’homme |qui met sa confiance |en l’Eternel et qui fonde sur l’Eternel |toute son assurance. Il sera comme un arbre |planté près d’un cours d’eau qui étend ses racines |vers le ruisseau, il ne redoute rien |lorsque vient la chaleur : ses feuilles restent vertes ; il ne s’inquiète pas pendant l’année de sécheresse, et il ne cesse pas |de produire du fruit.
Le cœur est tortueux |plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? Moi, l’Eternel, |moi, je sonde les cœurs, je scrute le tréfonds de l’être pour donner à chacun |ce que lui auront valu sa conduite et les effets |de ses agissements.