Tous les cieux proclament |combien Dieu |est glorieux, l’étendue céleste |publie l’œuvre de ses mains. Un jour en informe un autre, une nuit à l’autre nuit |en transmet la connaissance.
Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’un autre ? Qu’il tienne bon ou qu’il tombe, c’est l’affaire de son maître. Mais il tiendra bon car le Seigneur, son maître, a le pouvoir de le faire tenir.
Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière.
Quel être humain peut savoir ce qui se passe dans un autre homme ? Seul l’esprit de cet homme en lui le sait. De même, nul ne peut connaître ce qui est en Dieu si ce n’est l’Esprit de Dieu.
Un autre encore a reçu la semence « parmi les ronces ». C’est celui qui écoute la Parole, mais en qui elle ne porte pas de fruit parce qu’elle est étouffée par les soucis de ce monde et par l’attrait trompeur des richesses.
Oui, j’en ai l’absolue certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l’avenir, ni les puissances, ni ce qui est en haut ni ce qui est en bas, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous arracher à l’amour que Dieu nous a témoigné en Jésus-Christ notre Seigneur.
Le cœur est tortueux |plus que toute autre chose, et il est incurable, qui pourrait le connaître ? Moi, l’Eternel, |moi, je sonde les cœurs, je scrute le tréfonds de l’être pour donner à chacun |ce que lui auront valu sa conduite et les effets |de ses agissements.
Je vis les morts, les grands et les petits, comparaissant devant le trône. Des livres furent ouverts. On ouvrit aussi un autre livre : le livre de vie. Les morts furent jugés, chacun d’après ses actes, suivant ce qui était inscrit dans ces livres. La mer avait rendu ses naufragés, la mort et le royaume des morts avaient rendu ceux qu’ils détenaient. Et tous furent jugés, chacun conformément à ses actes.
Pourtant moi, l’Eternel, |je suis ton Dieu depuis l’Egypte et, en dehors de moi, |tu ne connais pas d’autre Dieu, il n’y a pas d’autre Sauveur que moi.
Voici ce que déclare le Seigneur des armées célestes : Rendez des jugements conformes à la vérité, agissez les uns envers les autres avec amour et compassion. N’exploitez pas la veuve et l’orphelin, ni l’immigré et les démunis, et ne tramez aucun mal les uns contre les autres.
Que tu es grand, Eternel Dieu ! Il n’y a personne comme toi, il n’existe pas d’autre Dieu que toi, c’est vraiment comme tout ce que nous avons entendu dire.
Reconnais donc aujourd’hui et garde présent à l’esprit que l’Eternel seul est Dieu en haut dans le ciel et en bas sur la terre, et qu’il n’y en a pas d’autre.
C’est pourquoi, fuyez l’inconduite sexuelle. Tous les autres péchés qu’un homme peut commettre n’impliquent pas son corps, mais celui qui se livre à l’inconduite pèche contre son propre corps.
Au jour du bonheur, jouis du bonheur, et au jour du malheur, réfléchis, car Dieu a fait l’un et l’autre, de sorte que l’homme ne puisse rien deviner de son avenir.
Alors l’autre disciple, celui qui était arrivé le premier, entra à son tour dans le tombeau. Il vit, et il crut. En effet, jusque-là ils n’avaient pas encore compris que Jésus devait ressusciter, comme l’avait annoncé l’Ecriture.
Avant tout, frères et sœurs, ne faites pas de serment, ni par le ciel, ni par la terre, ni par n’importe quoi d’autre. Que votre oui soit un vrai oui et votre non un vrai non, afin que vous ne tombiez pas sous le coup de la condamnation.
Ne vous refusez donc pas l’un à l’autre. Vous pouvez, certes, en plein accord l’un avec l’autre, renoncer pour un temps à vos relations conjugales afin de vous consacrer davantage à la prière, mais après cela, reprenez vos rapports comme auparavant. Il ne faut pas donner à Satan l’occasion de vous tenter par votre incapacité à vous maîtriser.