Garde-toi de dire : « Comment se fait-il qu’autrefois, les choses allaient mieux qu’aujourd’hui ? » Car ce n’est pas la sagesse qui te dicte une telle question.
Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.
Apportez donc vos dîmes dans leur totalité au trésor du Temple pour qu’il y ait des vivres dans ma demeure ! De cette façon-là, mettez-moi à l’épreuve, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes : alors vous verrez bien si, de mon côté, je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, et ne vous comble pas avec surabondance de ma bénédiction.
Eh bien, moi je vous dis de ne pas faire de serment du tout. Ne dites pas : « Je le jure par le ciel », car le ciel, c’est le trône de Dieu. Ou : « J’en prends la terre à témoin », car elle est l’escabeau où Dieu pose ses pieds. Ou : « Je le jure par Jérusalem ; », car elle est la ville de Dieu, le grand Roi.
Toutefois, ce qui doit vous réjouir, ce n’est pas de voir que les esprits mauvais vous sont soumis, mais de savoir que vos noms sont inscrits dans le ciel.
Ah ! Seigneur Eternel ! C’est toi qui as créé le ciel et la terre par ta grande puissance, et en déployant ta force. Pour toi rien n’est trop extraordinaire.
Les coutumes des autres peuples |sont inutiles, leur dieu n’est que du bois |coupé dans la forêt, travaillé au ciseau |par la main d’un sculpteur. On l’embellit d’argent ou d’or, un marteau et des clous |le font tenir en place pour qu’il ne branle pas ! Ces dieux-là sont semblables |à des épouvantails |dans un champ de concombres : ils ne savent parler, il faut qu’on les transporte car ils ne marchent pas. Ne les craignez donc pas : ils ne font pas de mal ; et ils ne peuvent pas |non plus faire du bien.
Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or, la terre était chaotique et vide. Les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.
Reconnais donc aujourd’hui et garde présent à l’esprit que l’Eternel seul est Dieu en haut dans le ciel et en bas sur la terre, et qu’il n’y en a pas d’autre.
Quelqu’un, dit l’Eternel, |pourrait-il se cacher |dans un endroit secret sans que moi, je le voie ? Ne suis-je pas celui |qui remplit ciel et terre ? demande l’Eternel.
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Jésus lui répondit : Si tu veux être parfait, va vendre tes biens, distribue le produit de la vente aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi !
Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Ainsi, nous bénéficions des dons infiniment précieux que Dieu nous avait promis. Il a voulu, par ces dons, vous rendre conformes au caractère de Dieu, vous qui avez fui la corruption que les mauvais désirs font régner dans ce monde.
Par la suite il les emmena hors de la ville jusqu’aux environs de Béthanie et là, élevant ses mains, il les bénit. Pendant qu’il les bénissait, il les quitta et fut enlevé au ciel.
Je vous assure qu’il en est de même au ciel : il y aura plus de joie pour un seul pécheur qui change profondément, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de changer.
Le collecteur d’impôts se tenait dans un coin retiré, et n’osait même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappait la poitrine et murmurait : « O Dieu, aie pitié du pécheur que je suis ! »
Dieu les bénit en disant : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre, rendez-vous en maîtres, et dominez les poissons des mers, les oiseaux du ciel et tous les reptiles et les insectes.
Oui, vraiment, je vous l’assure : tant que le ciel et la terre resteront en place, ni la plus petite lettre de la Loi, ni même un point sur un i n’en sera supprimé jusqu’à ce que tout se réalise.
Autant le ciel est élevé |au-dessus de la terre, autant les voies que je vous ai prescrites |sont élevées au-dessus de vos voies, et autant mes pensées |sont élevées loin au-dessus des vôtres.
L’Eternel a bâti |les marches de son trône dans le ciel ; il a fondé sa voûte |au-dessus de la terre : il convoque les eaux de l’océan, et les répand |sur la surface de la terre. Son nom est l’Eternel.
Voyez ces oiseaux qui volent dans le ciel, ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n’amassent pas de provisions dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’avez-vous pas bien plus de valeur qu’eux ?
Si alors mon peuple qui est appelé de mon nom s’humilie, prie et recherche ma grâce, s’il se détourne de sa mauvaise conduite, moi, je l’écouterai du ciel, je lui pardonnerai ses péchés et je guérirai son pays.
Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable. Car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il existe et qu’il récompense ceux qui se tournent vers lui.