Mais le jeune homme leur dit : N’ayez pas peur ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié ? Il est ressuscité, il n’est plus ici. Voyez l’endroit où on l’avait déposé.
Mais l’ange, s’adressant aux femmes, leur dit : Vous autres, n’ayez pas peur ; je sais que vous cherchez Jésus, qui a été crucifié. Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché.
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Parce que vous n’avez que peu de foi, leur répondit-il. Vraiment, je vous l’assure, si vous aviez de la foi, même si elle n’était pas plus grosse qu’une graine de moutarde, vous pourriez commander à cette montagne : Déplace-toi d’ici jusque là-bas, et elle le ferait. Rien ne vous serait impossible.
Veillez à ce que personne ne rende le mal pour le mal mais, en toute occasion, recherchez le bien, dans vos rapports mutuels comme envers tous les hommes.
Soyez toujours dans la joie. Priez sans cesse. Remerciez Dieu en toute circonstance : telle est pour vous la volonté que Dieu a exprimée en Jésus-Christ.
Que le Seigneur vous remplisse, jusqu’à en déborder, d’amour les uns pour les autres et envers tous les hommes, à l’exemple de l’amour que nous vous portons.
C’est à cela que Dieu vous a appelés par l’Evangile que nous vous avons annoncé ; il vous a appelés, pour que vous possédiez la gloire de notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous devons toujours remercier Dieu à votre sujet, frères et sœurs, et il est juste que nous le fassions. En effet, votre foi fait de magnifiques progrès et, en chacun de vous, l’amour que vous vous portez les uns aux autres ne cesse d’augmenter.
Le corps humain forme un tout, et pourtant il a beaucoup d’organes. Et tous ces organes, dans leur multiplicité, ne constituent qu’un seul corps. Il en va de même pour ceux qui sont unis à Christ.
Ta délivrance |me sert de bouclier, de ta main droite, |tu me soutiens, et ta sollicitude me grandit. Tu m’amènes à marcher |sur un chemin bien large, mes jambes ne fléchissent pas.
Si vraiment vous adoptez une conduite bonne et si vous faites ce qui est bien, si vous rendez de justes jugements dans les procès, si vous vous abstenez d’exploiter l’immigré, l’orphelin et la veuve, de tuer des innocents en ce lieu et d’adorer d’autres dieux pour votre propre malheur, alors je vous ferai habiter dans ce lieu, ce pays que j’ai donné à vos ancêtres depuis toujours et pour toujours.
Ne participez pas aux pratiques stériles que favorisent les ténèbres, mais démasquez-les plutôt. Car tout ce que ces gens-là font en cachette est si honteux qu’on n’ose même pas en parler.
Ceux qui veulent à tout prix s’enrichir s’exposent eux-mêmes à la tentation et tombent dans le piège de nombreux désirs insensés et pernicieux qui précipitent les hommes dans la ruine et la perdition.
Ainsi, nous bénéficions des dons infiniment précieux que Dieu nous avait promis. Il a voulu, par ces dons, vous rendre conformes au caractère de Dieu, vous qui avez fui la corruption que les mauvais désirs font régner dans ce monde.
Ce que Dieu veut, c’est que vous deveniez toujours plus saints : que vous vous absteniez de toute immoralité ; que chacun de vous sache gagner une parfaite maîtrise de son corps pour vivre dans la sainteté et l’honneur, sans se laisser dominer par des passions déréglées, comme le font les païens qui ne connaissent pas Dieu.
L’Eternel, le Seigneur, |c’est lui ma force : il rend mes pieds pareils |à ceux des biches, il me fait cheminer |sur les lieux élevés. Pour le chef des musiciens. A chanter avec accompagnement d’instruments à cordes.