Vous n’ajouterez rien à ce que je vous commande et vous n’en retrancherez rien. Vous obéirez aux commandements de l’Eternel votre Dieu, que je vous transmets.
Ne vous inquiétez pas en vous demandant : Qu’allons-nous manger ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? La vie vaut bien plus que la nourriture. Le corps vaut bien plus que le vêtement.
Quel que soit votre travail, faites-le de tout votre cœur, et cela comme pour le Seigneur et non pour des hommes. Car vous savez que vous recevrez du Seigneur, comme récompense, l’héritage qu’il réserve au peuple de Dieu. Le Maître que vous servez, c’est Christ.
Car un jour dans tes parvis |vaut bien mieux que mille ailleurs. Plutôt rester sur le seuil |de la maison de mon Dieu, que de demeurer |sous les tentes des méchants.
Ce que Dieu veut, c’est que vous deveniez toujours plus saints : que vous vous absteniez de toute immoralité ; que chacun de vous sache gagner une parfaite maîtrise de son corps pour vivre dans la sainteté et l’honneur, sans se laisser dominer par des passions déréglées, comme le font les païens qui ne connaissent pas Dieu.
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Que la paix instaurée par Christ gouverne vos décisions. Car c’est à cette paix que Dieu vous a appelés pour former un seul corps. Soyez reconnaissants.
Mais il y a un fait que vous ne devez pas oublier, mes chers amis : c’est que, pour le Seigneur, un jour est comme mille ans et mille ans sont comme un jour.
Le peu que possède |celui qui est juste vaut bien mieux que la richesse |de nombreux méchants. Les méchants verront |leur pouvoir brisé, mais l’Eternel reste |le soutien des justes.
Quant à vous, maris, que chacun de vous aime sa femme comme Christ a aimé l’Eglise : il a donné sa vie pour elle afin de la rendre digne de se tenir devant Dieu après l’avoir purifiée par sa Parole, comme par le bain nuptial.