Car, qui donc suis-je, et qui donc est mon peuple pour avoir les moyens |de t’offrir de tels dons ? Tout cela vient de toi, et c’est de ta main même |que nous avons reçu |ce que nous te donnons.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Prenez mon joug sur vous et mettez-vous à mon école, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour vous-mêmes. Oui, mon joug est facile à porter et la charge que je vous impose est légère.
Quelqu’un, dit l’Eternel, |pourrait-il se cacher |dans un endroit secret sans que moi, je le voie ? Ne suis-je pas celui |qui remplit ciel et terre ? demande l’Eternel.
Moi, je suis le vrai plant de vigne et mon Père est le vigneron. Tous les sarments, en moi, qui ne portent pas de fruit, il les coupe, et tous ceux qui en portent, il les purifie afin qu’ils produisent un fruit encore plus abondant.
Alors Job se leva, il déchira son manteau, se rasa la tête, puis se jeta par terre pour se prosterner. Et il dit : Je suis sorti nu du ventre de ma mère, et j’y retournerai nu. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris : que l’Eternel soit béni !
Moi, je vous baptise dans l’eau, en signe d’un profond changement. Mais quelqu’un vient après moi : il est bien plus puissant que moi et je ne suis même pas digne de lui enlever les sandales. C’est lui qui vous baptisera dans le Saint-Esprit et le feu.
J’affermirai |le peuple de Juda, je sauverai |le peuple de Joseph. Je les rétablirai, car j’aurai de l’amour pour eux, ils seront comme un peuple |que je n’aurais jamais |rejeté loin de moi. Car je suis l’Eternel, leur Dieu ; je les exaucerai.
Je démontrerai ma sainteté, moi qui ai été profané parmi les autres peuples par votre faute, et ces peuples reconnaîtront que je suis l’Eternel – le Seigneur, l’Eternel, le déclare – quand je ferai éclater ma sainteté à leurs yeux par mon œuvre envers vous.
Allez donc dans le monde entier, faites des disciples parmi tous les peuples, baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et enseignez-leur à obéir à tout ce que je vous ai prescrit. Et voici : je suis moi-même avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.
Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur, mais tu ne manqueras pas de reprendre ton prochain pour ne pas te charger d’un péché. Tu ne te vengeras pas et tu ne garderas pas de rancune envers les membres de ton peuple, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l’Eternel.
Si vous écoutez attentivement l’Eternel votre Dieu, et si vous faites ce qui est droit à ses yeux, si vous êtes attentifs à ses commandements et si vous obéissez à toutes ses lois, je ne vous infligerai aucune des maladies dont j’ai frappé les Egyptiens ; car je suis l’Eternel qui vous apporte la guérison.
Suis fidèlement les ordres de l’Eternel ton Dieu, en marchant dans les chemins qu’il a prescrits et en obéissant à ses lois, ses commandements, ses articles de droit et ses ordonnances, tels qu’ils sont consignés dans la Loi de Moïse. Alors tu auras du succès dans tout ce que tu entreprendras et partout où tu iras.
Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
Mais j’ai été protégé par Dieu jusqu’à ce jour et je suis donc encore là pour apporter mon témoignage aux gens d’humble condition comme aux personnages importants. Et ce que je déclare, ce n’est rien d’autre que les événements dont les prophètes et Moïse ont annoncé l’accomplissement : c’est-à-dire que le Messie souffrirait, et qu’il serait le premier à ressusciter pour annoncer la lumière du salut, non seulement au peuple juif, mais aussi aux non-Juifs.
En effet, si je parlais les langues des hommes et même celles des anges mais sans avoir l’amour, je ne serais rien de plus qu’une trompette claironnante ou une cymbale bruyante.
En ce qui me concerne, je ne veux à aucun prix placer ma fierté ailleurs que dans la mort de notre Seigneur Jésus-Christ sur la croix. Par elle, en effet, le monde dominé par le mal a été crucifié pour moi, de même que moi je l’ai été pour ce monde.
Père, mon désir est que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je serai et qu’ils contemplent ma gloire, celle que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la création du monde.
Si j’avais des prophéties, si je connaissais tous les secrets et si je possédais toute la connaissance, si j’avais même dans toute sa plénitude, la foi jusqu’à transporter les montagnes, sans l’amour, je ne serais rien.
Il leur répondit : Si quelqu’un a deux chemises, qu’il en donne une à celui qui n’en a pas. Si quelqu’un a de quoi manger, qu’il partage avec celui qui n’a rien.