Et leur dit : Celui qui accueille cet enfant en mon nom m’accueille moi-même, et celui qui m’accueille, accueille aussi celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous, c’est celui-là qui est grand.
C’est pourquoi, tenez-vous soigneusement à l’enseignement que vous avez reçu dès le commencement. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez aussi unis au Fils et au Père.
Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui dure pour la vie éternelle. Cette nourriture, c’est le Fils de l’homme qui vous la donnera, car Dieu le Père lui en a accordé le pouvoir en le marquant de son sceau.
En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation.
C’est pourquoi, tenez votre esprit en éveil et faites preuve de modération ; mettez toute votre espérance dans la grâce qui vous sera accordée le jour où Jésus-Christ apparaîtra.
Jésus lui répondit : Si tu veux être parfait, va vendre tes biens, distribue le produit de la vente aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi !
Car pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ, ce qui importe, ce n’est pas d’être circoncis ou incirconcis, c’est d’avoir la foi, une foi qui agit par amour.
Mais quand ils le virent marcher ainsi sur l’eau, ils crurent que c’était un fantôme et se mirent à pousser des cris. En effet, tous l’avaient aperçu et étaient pris de panique. Aussitôt, il se mit à leur parler : Rassurez-vous, leur dit-il, c’est moi, n’ayez pas peur !
Or, durant leur séjour à Bethléhem, arriva le moment où Marie devait accoucher. Elle mit au monde un fils : son premier-né. Elle lui mit des langes et le coucha dans une mangeoire parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans la pièce réservée aux hôtes.
C’est pourquoi, ne vous laissez juger par personne à propos de ce que vous mangez ou de ce que vous buvez ou au sujet de l’observance des jours de fête, des nouvelles lunes ou des sabbats. Tout cela n’était que l’ombre des choses à venir : la réalité est en Christ.
Tout homme qui nie que Jésus est le Fils de Dieu ne connaît pas non plus le Père. Celui qui reconnaît que Jésus est le Fils de Dieu connaît aussi le Père.
Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Car Dieu a voulu leur faire connaître quelle est la glorieuse richesse que renferme le secret de son plan pour les non-Juifs. Et voici ce secret : Christ en vous, garantie de votre espérance de la gloire à venir.
Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
Ne vous imaginez pas que je sois venu pour abolir ce qui est écrit dans la Loi ou les prophètes ; je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir.