Je t’aime, ô Eternel, ma force ! L’Eternel est ma forteresse, |mon rocher, mon libérateur. Il est mon Dieu, le roc solide |où je me réfugie. Il est mon Sauveur tout-puissant, |mon rempart et mon bouclier.
O Dieu, tu es mon Dieu ! |C’est toi que je recherche. Mon âme a soif de toi, mon corps même ne cesse |de languir après toi comme une terre aride, |desséchée et sans eau.
Alors, dans ma détresse, |j’invoquai l’Eternel. Vers mon Dieu, je lançai |mon appel au secours, mon cri parvint à ses oreilles et, de son temple, il m’entendit.
Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.
Le vainqueur, je le ferai siéger avec moi sur mon trône, comme moi-même, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône après avoir remporté la victoire.
Si vous obéissez à mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, tout comme moi-même j’ai obéi aux commandements de mon Père et je demeure dans son amour.
Ne faites donc rien par esprit de rivalité, ou par un vain désir de vous mettre en avant ; au contraire, par humilité, considérez les autres comme plus importants que vous-mêmes.