A peine accepterait-on de mourir pour un juste ; peut-être quelqu’un irait-il jusqu’à mourir pour le bien. Mais voici comment Dieu nous montre l’amour qu’il a pour nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.
Moi, je suis la résurrection et la vie, lui dit Jésus. Celui qui place toute sa confiance en moi vivra, même s’il meurt. Et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?
Ne craignez donc pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais qui n’ont pas le pouvoir de faire mourir l’âme. Craignez plutôt celui qui peut vous faire périr corps et âme dans l’enfer.
Pensez-vous que je prenne le moindre plaisir à voir mourir le méchant ? demande le Seigneur, l’Eternel. Mon désir n’est-il pas plutôt qu’il abandonne sa mauvaise conduite et qu’il vive ?
Si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur, et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Ainsi, que nous vivions ou que nous mourions, nous appartenons au Seigneur.
En effet, au signal donné, sitôt que la voix de l’archange et le son de la trompette divine retentiront, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts unis à Christ ressusciteront en premier lieu. Ensuite, nous qui serons restés en vie à ce moment-là, nous serons enlevés ensemble avec eux, dans les nuées, pour rencontrer le Seigneur dans les airs. Ainsi nous serons pour toujours avec le Seigneur.
Faites donc mourir tout ce qui, dans votre vie, appartient à la terre, c’est-à-dire : l’inconduite, l’impureté, les passions incontrôlées, les désirs mauvais et la soif de posséder – qui est une idolâtrie.
Si je devais traverser |la vallée où règnent |d’épaisses ténèbres, je ne craindrais aucun mal, |car tu es auprès de moi : ta houlette me conduit |et ton bâton me protège.
Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. L’amour est fort |comme la mort, et la passion |est inflexible |comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour |sont des flammes ardentes, une flamme venant de l’Eternel.
Oui, j’en ai l’absolue certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni le présent ni l’avenir, ni les puissances, ni ce qui est en haut ni ce qui est en bas, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous arracher à l’amour que Dieu nous a témoigné en Jésus-Christ notre Seigneur.
Car je sauvais le pauvre |qui appelait à l’aide ainsi que l’orphelin |privé de tout secours. Ceux qui allaient mourir |me bénissaient, et je mettais la joie |dans le cœur de la veuve.
Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent à Suse. Jeûnez pour moi, sans manger ni boire pendant trois jours et trois nuits. J’observerai de mon côté le même jeûne avec mes servantes. Ensuite, je me rendrai chez l’empereur, malgré la loi. Si je dois mourir, je mourrai !
Et j’entendis une forte voix, venant du trône, qui disait : Voici la Tente de Dieu avec les hommes. Il habitera avec eux ; ils seront ses peuples et lui, Dieu avec eux , sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu.
Je suis tiraillé de deux côtés : j’ai le désir de quitter cette vie pour être avec Christ, car c’est, de loin, le meilleur. Mais il est plus nécessaire que je demeure dans ce monde à cause de vous.
Nous le savons, en effet : si notre demeure, cette tente que nous habitons sur la terre, vient à être détruite, nous avons au ciel une maison que Dieu nous a préparée, une habitation éternelle qui n’est pas l’œuvre de l’homme.
Du séjour des morts, où il souffrait cruellement, il leva les yeux et aperçut, très loin, Abraham, et Lazare à côté de lui. Alors il s’écria : « Abraham, mon père, aie pitié de moi ! Envoie donc Lazare, qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue, car je souffre horriblement dans ces flammes. »
Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection. La seconde mort n’a pas prise sur eux. Ils seront prêtres de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant les mille ans.