Pourtant, c’est la vérité que je vais vous dire : il vaut mieux pour vous que je m’en aille. En effet, si je ne m’en vais pas, le Défenseur en justice ne viendra pas à vous. Mais si je m’en vais, alors je vous l’enverrai.
Aussi, ô Eternel, |nous espérons en toi ; sur les voies que tracent tes lois, oui, tout notre désir |vers toi se porte, nous voulons te garder |présent à la pensée.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Il s’est livré lui-même pour nous, afin de nous délivrer de toute désobéissance et de faire de nous, en nous purifiant ainsi, un peuple qui lui appartienne et qui mette toute son ardeur à accomplir des œuvres bonnes.
Car chacun de nous commet des fautes de bien des manières. Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier.
Si nous prétendons être en communion avec lui, tout en vivant dans les ténèbres, nous sommes des menteurs et nous n’agissons pas comme la vérité l’exige.
Et si vous faites du bien seulement à ceux qui vous en font, pourquoi vous attendriez-vous à de la reconnaissance ? Les pécheurs n’agissent-ils pas de même ?
Que personne ne se fasse d’illusions sur ce point. Si quelqu’un parmi vous se croit sage selon les critères de ce monde, qu’il devienne fou afin de devenir véritablement sage.
Vous, mes enfants, vous êtes de Dieu et vous avez la victoire sur ces prophètes de mensonge, car celui qui est en vous est plus puissant que celui qui inspire ce monde.
Cependant, il sait bien |quelle voie j’ai suivie. S’il me met à l’épreuve, |je sortirai pur comme l’or. Car j’ai toujours suivi |la trace de ses pas. J’ai marché sur la voie |qu’il a prescrite, |je n’en ai pas dévié.
La Loi de l’Eternel est parfaite, |elle nous redonne vie. L’acte de l’alliance de l’Eternel |est digne de confiance, |et aux gens inexpérimentés |elle donne la sagesse.
Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il obéira à ma parole. Mon Père aussi l’aimera : nous viendrons à lui et nous établirons notre demeure chez lui.
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.