J'ai reconnu que leur seul bonheur consiste à se réjouir et à bien agir pendant leur vie, et que, si un homme mange, boit et prend du plaisir dans tout son travail, c'est un cadeau de Dieu.
Apportez toutes les dîmes à la maison du trésor afin qu'il y ait de la nourriture dans ma maison. Mettez-moi ainsi à l'épreuve, dit l'Eternel, le maître de l’univers, et vous verrez si je n'ouvre pas pour vous les fenêtres du ciel, si je ne déverse pas sur vous la bénédiction en abondance.
Voici ce que j'ai vu: il est bon et beau pour l'homme de manger et de boire et de prendre du plaisir dans le travail qu'il accomplit sous le soleil, pendant la durée de vie que Dieu lui accorde, car c’est sa part.
Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de ce dont vous serez habillés. La vie est plus que la nourriture et le corps plus que le vêtement.
Je sais vivre dans la pauvreté et je sais vivre dans l'abondance. Partout et en toutes circonstances j'ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l'abondance et à être dans le besoin.
Et même, si un homme a reçu de Dieu des richesses et des biens, s'il lui a donné le pouvoir d'en manger, d'en prendre sa part et de se réjouir au milieu de son travail, c'est un cadeau de Dieu.
Il leur dit: «Vous aussi, vous êtes donc sans intelligence? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui, de l’extérieur, entre dans l'homme ne peut le rendre impur? En effet, cela n'entre pas dans son cœur, mais dans son ventre, puis est évacué dans les toilettes.» Il déclarait ainsi que tous les aliments sont purs.
Observez les corbeaux: ils ne sèment pas et ne moissonnent pas, ils n'ont ni cave ni grenier, et Dieu les nourrit. Vous valez beaucoup plus que les oiseaux!
La vigne est desséchée, le figuier flétri; le grenadier, le palmier, le pommier, tous les arbres des champs sont desséchés. La joie a cessé parmi les hommes!