L'ange lui dit: «N’aie pas peur, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu seras enceinte. Tu mettras au monde un fils et tu lui donneras le nom de Jésus.»
C'est moi, c'est moi qui vous console. Qui es-tu pour avoir peur de l'homme, alors qu’il va mourir, et du fils de l'homme, dont le sort est pareil à celui de l'herbe?
Oh! combien ta bonté est grande! Tu la tiens en réserve pour ceux qui te craignent, tu la témoignes à ceux qui cherchent refuge en toi face aux hommes.
Ne vend-on pas cinq moineaux pour deux petites pièces? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant Dieu. Même vos cheveux sont tous comptés. N’ayez donc pas peur: vous valez plus que beaucoup de moineaux.
En effet, les coutumes des peuples sont vides de sens. C’est du bois qu’on coupe dans la forêt: la main de l'ouvrier le travaille avec la hache, on l'embellit avec de l'argent et de l'or, on le fixe avec des clous et des marteaux pour qu'il ne bouge pas. Ces dieux ressemblent à un poteau massif: ils ne parlent pas. Il faut bien qu’on les porte, puisqu’ils ne peuvent pas marcher! N’ayez pas peur d’eux, car ils ne peuvent faire aucun mal; ils sont même incapables de faire du bien.
Or nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous et nous y avons cru. Dieu est amour et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.