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Versets Biblique sur 'Était'

  • Au commencement était celui qui est la Parole de Dieu. Il était avec Dieu, il était lui-même Dieu.
  • Et si vous voyez le Fils de l’homme remonter là où il était auparavant ?
  • Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
  • Il était méprisé, |abandonné des hommes,
    un homme de douleur
    habitué à la souffrance.
    Oui, il était semblable |à ceux devant lesquels |on détourne les yeux.
    Il était méprisé,
    et nous n’avons fait de lui aucun cas.
  • Lorsque mes cris montaient vers lui,
    sa louange était sur ma langue.
  • Pierre était donc sous bonne garde dans la prison. Mais l’Eglise priait ardemment Dieu en sa faveur.
  • « Moi je suis l’Alpha et l’Oméga »,
    dit le Seigneur Dieu,
    celui qui est, qui était et qui vient,
    le Tout-Puissant.
  • Par la foi, Sara, elle aussi, qui était stérile, a été rendue capable de devenir mère alors qu’elle en avait depuis longtemps passé l’âge. En effet, elle était convaincue que celui qui avait fait la promesse est fidèle.
  • Voilà comment chaque mari doit aimer sa femme comme si elle était son propre corps : ainsi celui qui aime sa femme s’aime lui-même.
  • En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation.
  • J’ai donc commencé à leur parler, quand l’Esprit Saint est descendu sur eux, de la même manière qu’il était descendu sur nous au commencement.
  • Voici dans quelles circonstances Jésus-Christ vint au monde : Marie, sa mère, était liée par fiançailles à Joseph ; or elle se trouva enceinte par l’action du Saint-Esprit, avant qu’ils aient vécu ensemble.
  • Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
  • C’est pourquoi, endossez l’armure que Dieu donne afin de pouvoir résister au mauvais jour et tenir jusqu’au bout après avoir fait tout ce qui était possible.
  • Alors l’autre disciple, celui qui était arrivé le premier, entra à son tour dans le tombeau. Il vit, et il crut. En effet, jusque-là ils n’avaient pas encore compris que Jésus devait ressusciter, comme l’avait annoncé l’Ecriture.
  • Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or, la terre était chaotique et vide. Les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.
  • Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a condamné comme un pécheur à notre place pour que, dans l’union avec Christ, nous recevions la justice que Dieu accorde.
  • Mais l’ange, s’adressant aux femmes, leur dit : Vous autres, n’ayez pas peur ; je sais que vous cherchez Jésus, qui a été crucifié. Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché.
  • Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
  • Gardons les yeux fixés sur Jésus, qui nous a ouvert le chemin de la foi et qui la porte à la perfection. Parce qu’il avait en vue la joie qui lui était réservée, il a enduré la mort sur la croix, en méprisant la honte attachée à un tel supplice, et désormais il siège à la droite du trône de Dieu.
  • Jésus était né à Bethléhem en Judée, sous le règne du roi Hérode. Or, des mages venant de l’Orient arrivèrent à Jérusalem. Ils demandaient : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile, et nous sommes venus lui rendre hommage.
  • Je vis les morts, les grands et les petits, comparaissant devant le trône. Des livres furent ouverts. On ouvrit aussi un autre livre : le livre de vie. Les morts furent jugés, chacun d’après ses actes, suivant ce qui était inscrit dans ces livres. La mer avait rendu ses naufragés, la mort et le royaume des morts avaient rendu ceux qu’ils détenaient. Et tous furent jugés, chacun conformément à ses actes.
  • Tous les jours, d’un commun accord, ils se retrouvaient dans la cour du Temple ; ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leurs repas dans la joie, avec simplicité de cœur. Ils louaient Dieu, et le peuple tout entier leur était favorable.
    Le Seigneur ajoutait chaque jour à leur communauté ceux qu’il sauvait.
  • Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité !
    Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu.
    Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat !
    Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ?
    Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses.
  • Et j’entendis une forte voix, venant du trône, qui disait :
    Voici la Tente de Dieu avec les hommes. Il habitera avec eux ; ils seront ses peuples et lui, Dieu avec eux , sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux. La mort ne sera plus et il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance. Car ce qui était autrefois a définitivement disparu.
  • Lui qui était de condition divine,
    ne chercha pas à profiter
    de l’égalité avec Dieu,
    mais il s’est dépouillé lui-même,
    et il a pris
    la condition d’un serviteur
    en se rendant semblable aux hommes :
    se trouvant ainsi reconnu
    à son aspect, comme un simple homme,
    il s’abaissa lui-même
    en devenant obéissant,
    jusqu’à subir la mort,
    oui, la mort sur la croix.
  • C’est ainsi que Joseph, lui aussi, partit de Nazareth et monta de la Galilée en Judée, à Bethléhem, la ville de David : il appartenait, en effet, à la famille de David. Il s’y rendit pour se faire recenser avec Marie, sa fiancée, qui attendait un enfant.
  • Vous savez aussi que, sans rien vous cacher, je vous ai annoncé et enseigné tout ce qui pouvait vous être utile, soit publiquement, soit dans vos maisons.
  • Dans la maison de mon Père, il y a beaucoup de demeures ; si ce n’était pas vrai, je vous l’aurais dit : en effet je vais vous préparer une place.
  • Il est sorti nu du sein de sa mère, et il partira comme il est venu, sans emporter dans ses mains une miette du fruit de son labeur.
  • Tous ceux qui étaient devenus des croyants vivaient dans une parfaite unité de cœur et d’esprit. Personne ne se prétendait propriétaire de ses biens, mais ils partageaient tout ce qu’ils avaient.
  • Dans toute la Judée, la Galilée et la Samarie, l’Eglise jouissait alors de la paix. Elle grandissait dans la foi, vivait dans l’obéissance au Seigneur, et s’accroissait en nombre, grâce au soutien du Saint-Esprit.
  • Mais c’est pour nos péchés |qu’il a été percé,
    c’est pour nos fautes |qu’il a été brisé.
    Le châtiment |qui nous donne la paix |est retombé sur lui
    et c’est par ses blessures |que nous sommes guéris.
  • Les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu au sujet de tout ce qu’ils avaient vu et entendu : c’était bien ce que l’ange leur avait annoncé.
  • Mais quand ils le virent marcher ainsi sur l’eau, ils crurent que c’était un fantôme et se mirent à pousser des cris. En effet, tous l’avaient aperçu et étaient pris de panique.
    Aussitôt, il se mit à leur parler : Rassurez-vous, leur dit-il, c’est moi, n’ayez pas peur !
  • C’est ainsi que vous êtes sauvés maintenant, vous aussi : ces événements préfiguraient le baptême. Celui-ci ne consiste pas à laver les impuretés du corps, mais à s’engager envers Dieu avec une conscience pure. Tout cela est possible grâce à la résurrection de Jésus-Christ.
  • Tout le peuple venait se faire baptiser, et Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et le Saint-Esprit descendit sur lui, sous une forme corporelle, comme une colombe.
    Une voix retentit alors du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé, tu fais toute ma joie.