Versets Biblique sur 'Manger'
- Parmi les animaux aquatiques, vous pourrez manger tous ceux qui ont des nageoires et des écailles. Mais vous ne mangerez pas ceux qui n’ont pas de nageoires et d’écailles, vous les considérerez comme impurs.
- C’est pourquoi je vous dis : ne vous inquiétez pas en vous demandant : « Qu’allons-nous manger ou boire ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? » La vie ne vaut-elle pas bien plus que la nourriture ? Et le corps ne vaut-il pas bien plus que les vêtements ?
- Il a désaltéré les assoiffés,
il a comblé de biens les affamés. - Et Jésus répondit : Moi, je suis le pain qui donne la vie. Celui qui vient à moi n’aura plus jamais faim, celui qui croit en moi n’aura plus jamais soif.
- Tout ce qui remue et qui vit vous servira de nourriture comme les légumes et les plantes : je vous donne tout cela. Toutefois, vous ne mangerez pas de viande contenant encore sa vie, c’est-à-dire son sang.
- Ainsi, que vous mangiez, que vous buviez, bref, quoi que ce soit que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu.
- Que celui qui mange de tout ne méprise pas celui qui ne fait pas comme lui, et que celui qui ne mange pas de viande ne condamne pas celui qui en mange, car Dieu lui a fait bon accueil.
- Va, mange ton pain dans la joie et bois ton vin d’un cœur content, car Dieu a déjà agréé tes œuvres !
- Et Dieu dit : Voici, je vous donne, pour vous en nourrir, toute plante portant sa semence partout sur la terre, et tous les arbres fruitiers portant leur semence.
- Qui répand la bénédiction connaîtra l’abondance ;
qui donne à boire aux autres sera lui-même désaltéré. - Jésus répondit : Il est écrit :
L’homme ne vivra pas seulement de pain,
mais aussi de toute parole que Dieu prononce. - C’est pourquoi, ne vous laissez juger par personne à propos de ce que vous mangez ou de ce que vous buvez ou au sujet de l’observance des jours de fête, des nouvelles lunes ou des sabbats. Tout cela n’était que l’ombre des choses à venir : la réalité est en Christ.
- Nous n’avons rien apporté dans ce monde, et nous ne pouvons rien en emporter. Tant que nous avons nourriture et vêtement, nous nous en contenterons.
- Alors Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, il leva les yeux vers le ciel et prononça la prière de bénédiction ; puis il les partagea et donna les morceaux à ses disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Tout le monde mangea à satiété. On ramassa les morceaux qui restaient ; cela faisait douze paniers.
- Je sais qu’il n’y a rien de bon pour l’homme hormis se réjouir et se donner du bon temps durant sa vie. Et aussi que si quelqu’un peut manger et boire et jouir du bonheur au milieu de son dur labeur, c’est un don de Dieu.
- Il leur répondit : Si quelqu’un a deux chemises, qu’il en donne une à celui qui n’en a pas. Si quelqu’un a de quoi manger, qu’il partage avec celui qui n’a rien.
- Puis Esdras ajouta : A présent, allez faire un bon repas, buvez d’excellentes boissons et faites porter des portions à ceux qui n’ont rien préparé, car ce jour est un jour consacré à notre Seigneur. Ne vous affligez donc pas, car la joie que donne l’Eternel est votre force.
- Ne vous inquiétez pas en vous demandant : Qu’allons-nous manger ? Avec quoi allons-nous nous habiller ? La vie vaut bien plus que la nourriture. Le corps vaut bien plus que le vêtement.
- Voici ce que j’ai considéré comme bon pour ma part : il est approprié pour l’homme de manger, de boire et de goûter au bonheur au milieu de tout le labeur qui lui donne tant de peine sous le soleil, pendant les jours que Dieu lui donne à vivre ; c’est là sa part.
- Voici : je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi.
- Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui dure pour la vie éternelle. Cette nourriture, c’est le Fils de l’homme qui vous la donnera, car Dieu le Père lui en a accordé le pouvoir en le marquant de son sceau.
- D’aimables paroles sont comme un rayon de miel :
douces pour l’âme et bienfaisantes pour le corps. - Tous les jours, d’un commun accord, ils se retrouvaient dans la cour du Temple ; ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leurs repas dans la joie, avec simplicité de cœur. Ils louaient Dieu, et le peuple tout entier leur était favorable.
Le Seigneur ajoutait chaque jour à leur communauté ceux qu’il sauvait. - Celui qui fournit la semence au semeur et lui donne le pain dont il se nourrit vous donnera aussi, avec largesse, toute la semence nécessaire et fera croître les fruits de votre générosité.
- Je ne touchai à aucun mets délicat ; je ne pris ni viande, ni vin, et je ne me frottai d’aucune huile parfumée pendant ces trois semaines.
- Heureux ceux qui ont faim et soif de justice,
car ils seront rassasiés. - Comme des enfants nouveau-nés, désirez ardemment le lait pur de la Parole, afin qu’il vous fasse grandir en vue du salut.
- Oui, il t’a fait connaître la pauvreté et la faim, et il t’a nourri avec cette manne que tu ne connaissais pas et que tes ancêtres n’avaient pas connue. De cette manière, il voulait t’apprendre que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais aussi de toute parole prononcée par l’Eternel.
- Faites donc du royaume de Dieu et de ce qui est juste à ses yeux votre préoccupation première, et toutes ces choses vous seront données en plus.
- Moïse demeura là avec l’Eternel quarante jours et quarante nuits, sans rien manger ni boire, et l’Eternel écrivit sur les tablettes les paroles de l’alliance, les dix commandements.
- Apportez donc vos dîmes dans leur totalité au trésor du Temple pour qu’il y ait des vivres dans ma demeure ! De cette façon-là, mettez-moi à l’épreuve, déclare l’Eternel, le Seigneur des armées célestes : alors vous verrez bien si, de mon côté, je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, et ne vous comble pas avec surabondance de ma bénédiction.
- Garde-moi de la fausseté et du mensonge,
ne me donne ni pauvreté ni richesse ;
accorde-moi seulement la nourriture nécessaire. - Oui, tout m’est permis, mais tout n’est pas bon pour nous. Tout est permis mais tout n’aide pas à grandir dans la foi.
- En effet, si Dieu donne à un homme des richesses et des biens, et s’il lui accorde la possibilité d’en profiter, d’en retirer sa part et de trouver de la joie au milieu de son labeur, c’est un don de Dieu.
- Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent à Suse. Jeûnez pour moi, sans manger ni boire pendant trois jours et trois nuits. J’observerai de mon côté le même jeûne avec mes servantes. Ensuite, je me rendrai chez l’empereur, malgré la loi. Si je dois mourir, je mourrai !
- Je sais vivre dans le dénuement, je sais aussi vivre dans l’abondance. C’est le secret que j’ai appris : m’accommoder à toutes les situations et toutes les circonstances, que je sois rassasié ou que j’aie faim, que je connaisse l’abondance ou que je sois dans le besoin.
- Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive.
- Un jour de sabbat, Jésus traversait des champs de blé, et ses disciples, tout en marchant, cueillaient des épis.
Les pharisiens le firent remarquer à Jésus : Regarde ! Pourquoi tes disciples font-ils le jour du sabbat ce qui est interdit ce jour-là ?
Il leur répondit : N’avez-vous jamais lu ce qu’a fait David lorsque lui et ses compagnons ont eu faim et qu’ils n’avaient rien à manger ? Il est entré dans le sanctuaire de Dieu (ce récit se trouve dans la section où il est question du grand-prêtre Abiatar), il a mangé les pains exposés devant Dieu que seuls les prêtres ont le droit de manger, et il en a donné aussi à ses hommes.
Et il ajouta : Le sabbat a été fait pour l’homme, et non pas l’homme pour le sabbat. C’est pourquoi le Fils de l’homme est aussi maître du sabbat. - Il leur répondit : Ainsi, vous non plus, vous ne comprenez pas ? Ne saisissez-vous pas ce que je veux dire ? De tout ce qui vient du dehors et pénètre dans l’homme, rien ne peut le rendre impur. Tout cela, en effet, ne va pas dans son cœur mais dans son ventre, et est évacué par les voies naturelles. – Il déclarait par là même que tous les aliments sont purs.
- Car le figuier |ne bourgeonnera plus,
et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes,
le fruit de l’olivier |trompera les espoirs,
les champs ne produiront |plus de pain à manger.
Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos,
et les bovins de leurs étables.
Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir,
j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve. - Considérez les corbeaux, ils ne sèment ni ne moissonnent ; ils n’ont ni cave, ni grenier et Dieu les nourrit. Vous valez bien plus qu’eux !
- Qu’en est-il donc de la question de la consommation des viandes sacrifiées aux idoles ? Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul Dieu.
- La mort et la vie sont au pouvoir de la langue :
qui aime se répandre en paroles mangera les fruits qu’elles auront produits. - Le Père qui m’a envoyé a la vie en lui-même, et c’est lui qui me fait vivre ; ainsi, celui qui se nourrit de moi vivra lui aussi par moi.
- Jean portait un vêtement de poils de chameau maintenu autour de la taille par une ceinture de cuir. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.
- Les vignes sont honteuses
et les figuiers s’étiolent,
le grenadier et le palmier, |ainsi que le pommier,
tous les arbres des champs |sont desséchés.
La joie est dans la honte |parmi les hommes. - Puis il dit : Voici que l’homme est devenu comme l’un de nous pour décider du bien et du mal. Maintenant il ne faudrait pas qu’il tende la main pour cueillir aussi du fruit de l’arbre de la vie, qu’il en mange et qu’il vive éternellement. Alors l’Eternel Dieu le chassa du jardin d’Eden pour qu’il travaille le sol d’où il avait été tiré.
- Lorsqu’ils sont arrivés |dans de gras pâturages,
ils se sont rassasiés ;
quand ils furent repus,
l’orgueil les a saisis
là-dessus, ils m’ont oublié.
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