Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
Priez donc ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel.
Vous savez aussi que, sans rien vous cacher, je vous ai annoncé et enseigné tout ce qui pouvait vous être utile, soit publiquement, soit dans vos maisons.
Il n’est plus ici, mais il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous disait quand il était encore en Galilée : « Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié, et qu’il ressuscite le troisième jour. »
Vous savez tout cela, mes chers frères et sœurs. Mais que chacun de vous soit toujours prêt à écouter, qu’il ne se hâte pas de parler, ni de se mettre en colère.
Avant tout, frères et sœurs, ne faites pas de serment, ni par le ciel, ni par la terre, ni par n’importe quoi d’autre. Que votre oui soit un vrai oui et votre non un vrai non, afin que vous ne tombiez pas sous le coup de la condamnation.
Dans votre cœur, reconnaissez le Seigneur – c’est-à-dire Christ – comme saint ; si l’on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre.
Ne prenez pas comme modèle le monde actuel, mais soyez transformés par le renouvellement de votre intelligence, pour pouvoir discerner la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui lui plaît, ce qui est parfait.