J’ai aussi constaté que tout labeur et que toute habileté que les hommes mettent à leurs œuvres sont motivés par la rivalité des uns envers les autres. Cela aussi est dérisoire : autant courir après le vent.
Vous rendrez votre culte à l’Eternel votre Dieu. Alors je vous bénirai en vous donnant une nourriture excellente et de l’eau en abondance, et je vous préserverai des maladies.
Voyez combien le Père nous a aimés pour que nous puissions être appelés enfants de Dieu – et nous le sommes ! Voici pourquoi le monde ne nous reconnaît pas : c’est parce qu’il n’a pas reconnu Dieu.
Cette Bonne Nouvelle du royaume de Dieu sera proclamée dans le monde entier pour que tous les peuples en entendent le témoignage. Alors seulement viendra la fin.
D’un côté, l’Eternel |est lent à la colère, sa puissance est immense, mais il ne laisse pas |le coupable impuni. L’Eternel fraie sa route |dans l’ouragan et la tempête, et les nuées sont la poussière |que soulèvent ses pieds.
S’il l’a fait, ce n’est pas parce que nous avons accompli des actes conformes à ce qui est juste. Non. Il nous a sauvés parce qu’il a eu compassion de nous, en nous faisant passer par le bain purificateur de la nouvelle naissance, c’est-à-dire en nous renouvelant par le Saint-Esprit.
Dans votre cœur, reconnaissez le Seigneur – c’est-à-dire Christ – comme saint ; si l’on vous demande de justifier votre espérance, soyez toujours prêts à la défendre.
Reconnais donc aujourd’hui et garde présent à l’esprit que l’Eternel seul est Dieu en haut dans le ciel et en bas sur la terre, et qu’il n’y en a pas d’autre.
Que votre amour fraternel demeure vivant. Ne négligez pas de pratiquer l’hospitalité. Car certains, en l’exerçant, ont accueilli des anges sans le savoir.
Ne sois pas effrayé, car je suis avec toi ; ne sois pas angoissé, car moi je suis ton Dieu. Je t’affermis, je viens à ton secours, pour sûr, je te soutiens |de mon bras droit |qui fait justice.
Ne craignez donc pas ceux qui peuvent tuer le corps, mais qui n’ont pas le pouvoir de faire mourir l’âme. Craignez plutôt celui qui peut vous faire périr corps et âme dans l’enfer.
Qu’en est-il donc de la question de la consommation des viandes sacrifiées aux idoles ? Nous savons qu’il n’existe pas d’idoles dans le monde et qu’il n’y a qu’un seul Dieu.
Que le Seigneur vous remplisse, jusqu’à en déborder, d’amour les uns pour les autres et envers tous les hommes, à l’exemple de l’amour que nous vous portons.