Je combats pour eux afin qu’ils soient encouragés et que, unis par l’amour, ils accèdent ensemble, en toute sa richesse, à la certitude que donne la compréhension du secret de Dieu et à la pleine connaissance de ce secret, c’est-à-dire de Christ.
Ils ne connaîtront plus ni la faim, ni la soif ; ils ne souffriront plus des ardeurs du soleil, ni d’aucune chaleur brûlante. Car l’Agneau qui est au milieu du trône prendra soin d’eux comme un berger, il les conduira vers les sources d’eaux vives, et Dieu lui-même essuiera toute larme de leurs yeux.
Car j’ai le vif désir d’aller vous voir pour vous transmettre quelque don de la grâce, par l’Esprit, en vue d’affermir votre foi, ou mieux : pour que, lorsque je serai parmi vous, nous nous encouragions mutuellement, vous et moi, par la foi qui nous est commune.
Or tout ce qui a été consigné autrefois dans l’Ecriture l’a été pour nous instruire, afin que la patience et l’encouragement qu’apporte l’Ecriture produisent en nous l’espérance.
Vous rendrez votre culte à l’Eternel votre Dieu. Alors je vous bénirai en vous donnant une nourriture excellente et de l’eau en abondance, et je vous préserverai des maladies.