Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur.
Qu’il n’en soit pas ainsi parmi vous. Au contraire : si quelqu’un veut être grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, si quelqu’un veut être le premier parmi vous, qu’il soit votre esclave.
Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive.
Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il obéira à ma parole. Mon Père aussi l’aimera : nous viendrons à lui et nous établirons notre demeure chez lui.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Voici : je me tiens devant la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je dînerai avec lui et lui avec moi.
Que personne ne se fasse d’illusions sur ce point. Si quelqu’un parmi vous se croit sage selon les critères de ce monde, qu’il devienne fou afin de devenir véritablement sage.
Là-dessus, Jésus appela la foule ainsi que ses disciples et leur dit : Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive.
Un homme seul est facilement maîtrisé par un adversaire, mais à deux ils pourront tenir tête à celui-ci. Et une corde faite de trois cordelettes tressées n’est pas vite rompue.
Quelqu’un, dit l’Eternel, |pourrait-il se cacher |dans un endroit secret sans que moi, je le voie ? Ne suis-je pas celui |qui remplit ciel et terre ? demande l’Eternel.
Moi, je suis le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain-là, il vivra éternellement. Le pain que je donnerai pour que le monde vive, c’est mon propre corps.
Si quelqu’un prétend aimer Dieu tout en détestant son frère, c’est un menteur. Car s’il n’aime pas son frère qu’il voit, il ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas.
Si quelqu’un pèche en faisant sans le savoir l’une des choses que l’Eternel a interdites dans ses commandements, il sera tenu pour coupable et portera la responsabilité de sa faute.
Car chacun de nous commet des fautes de bien des manières. Celui qui ne commet jamais de faute dans ses paroles est un homme parvenu à l’état d’adulte, capable de maîtriser aussi son corps tout entier.
Vraiment, je vous l’assure, si quelqu’un dit à cette colline : « Soulève-toi de là et jette-toi dans la mer », sans douter dans son cœur, mais en croyant que ce qu’il dit va se réaliser, la chose s’accomplira pour lui.
Ainsi, lorsque tu donnes quelque chose aux pauvres, ne le claironne pas partout. Ce sont les hypocrites qui agissent ainsi dans les synagogues et dans les rues pour que les gens chantent leurs louanges. Vraiment, je vous l’assure : leur récompense, ils l’ont d’ores et déjà reçue.
Et leur dit : Celui qui accueille cet enfant en mon nom m’accueille moi-même, et celui qui m’accueille, accueille aussi celui qui m’a envoyé. Car celui qui est le plus petit parmi vous, c’est celui-là qui est grand.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.