J’ai terminé, frères et sœurs. Soyez dans la joie. Travaillez à votre perfectionnement. Encouragez-vous mutuellement. Soyez d’accord entre vous. Vivez dans la paix. Alors le Dieu d’amour et de paix sera avec vous.
Et toutes les créatures dans le ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer, tous les êtres qui peuplent l’univers, je les entendis proclamer : A celui qui siège sur le trône et à l’Agneau soient louange et honneur, gloire et puissance pour toute éternité.
Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde.
O Dieu, tu es mon Dieu ! |C’est toi que je recherche. Mon âme a soif de toi, mon corps même ne cesse |de languir après toi comme une terre aride, |desséchée et sans eau.
Ne vous imaginez pas que je sois venu pour abolir ce qui est écrit dans la Loi ou les prophètes ; je ne suis pas venu pour abolir, mais pour accomplir.
En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation.
Pourtant, en vérité, |c’est de nos maladies |qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances |qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions |que Dieu l’avait puni, frappé et humilié.
En effet, cet Evangile nous révèle en quoi consiste la justice que Dieu accorde : elle est reçue par la foi et rien que par la foi, comme il est dit dans l’Ecriture : Le juste vivra grâce à la foi.
Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit : « Je reconnaîtrai |devant l’Eternel |les péchés que j’ai commis. » Alors tu m’as déchargé |du poids de ma faute. Pause
Le Seigneur n’est pas en retard dans l’accomplissement de sa promesse, comme certains se l’imaginent, il fait simplement preuve de patience à votre égard, car il ne veut pas qu’un seul périsse. Il voudrait, au contraire, que tous parviennent à se convertir.