Où pourrais-je aller |loin de ton Esprit ? Où pourrais-je fuir |hors de ta présence ? Si je monte au ciel |tu es là, et si je descends |au séjour des morts, |t’y voilà !
Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Sonde-moi, ô Dieu, |pénètre mon cœur, examine-moi, |et pénètre les pensées |qui me bouleversent ! Considère si je suis |le chemin du mal et dirige-moi |sur la voie |prescrite depuis toujours !
Comme il est beau de voir |sur les montagnes les pas du messager |d’une bonne nouvelle, qui annonce la paix, qui parle de bonheur, et qui annonce le salut, qui dit à Sion : « Ton Dieu règne. »