Le dernier jour de la fête, le jour le plus solennel, Jésus se tint devant la foule et lança à pleine voix : Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et que celui qui croit en moi boive.
Ils avaient fixé au-dessus de la tête de Jésus un écriteau sur lequel était inscrit, comme motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
Mais Dieu a été compatissant envers moi pour cette raison : Jésus-Christ a voulu, en moi, l’exemple type des pécheurs, montrer toute l’étendue de sa patience, pour que je serve d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour accéder à la vie éternelle.
Le vainqueur, je le ferai siéger avec moi sur mon trône, comme moi-même, je suis allé siéger avec mon Père sur son trône après avoir remporté la victoire.
Si l’on vous dit : « Regardez, il est dans le désert ! », n’y allez pas ! Si l’on prétend : « Il se cache en quelque endroit secret ! », n’en croyez rien. En effet, quand le Fils de l’homme viendra, ce sera comme l’éclair qui jaillit du levant et illumine tout jusqu’au couchant.
Mais il m’a répondu : « Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement. » C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.
Christ nous a rendus libres pour que nous connaissions la vraie liberté. C’est pourquoi tenez bon et ne vous mettez pas à nouveau sous le joug de l’esclavage.
Car Dieu a voulu leur faire connaître quelle est la glorieuse richesse que renferme le secret de son plan pour les non-Juifs. Et voici ce secret : Christ en vous, garantie de votre espérance de la gloire à venir.
Heureux serez-vous quand les hommes vous haïront, vous rejetteront, vous insulteront, vous chasseront en vous accusant de toutes sortes de maux à cause du Fils de l’homme.
Ne me retiens pas, lui dit Jésus, car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Va plutôt trouver mes frères et dis-leur de ma part : Je monte vers mon Père qui est votre Père, vers mon Dieu qui est votre Dieu.