Recommande ton sort à l’Eternel, mets ta confiance en lui, et il agira: il fera paraître ta justice comme la lumière, et ton droit comme le soleil en plein midi.
Faites tout sans murmures ni contestations afin d'être irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans défaut au milieu d'une génération perverse et corrompue. C’est comme des flambeaux dans le monde que vous brillez parmi eux en portant la parole de vie.
Nous savons, en effet, que si notre habitation terrestre, qui n'est qu'une tente, est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l'œuvre de Dieu, une habitation éternelle qui n'est pas faite par la main de l'homme.
Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître? Moi, l'Eternel, j’explore le cœur, j’examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements.
Mon fils, n'oublie pas mon enseignement et que ton cœur garde mes commandements, car ils prolongeront la durée de tes jours, les années de ta vie, et ils augmenteront ta paix.
Il fait toute chose belle au moment voulu. Il a même mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, même si l'homme ne peut pas comprendre l'œuvre que Dieu accomplit du début à la fin.
C'est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas de ce que vous mangerez et boirez pour vivre, ni de ce dont vous habillerez votre corps. La vie n'est-elle pas plus que la nourriture et le corps plus que le vêtement?
Heureux l'homme qui tient bon face à la tentation car, après avoir fait ses preuves, il recevra la couronne de la vie que le Seigneur a promise à ceux qui l'aiment.
J'ai reconnu que leur seul bonheur consiste à se réjouir et à bien agir pendant leur vie, et que, si un homme mange, boit et prend du plaisir dans tout son travail, c'est un cadeau de Dieu.
Si nous vivons, c'est pour le Seigneur que nous vivons, et si nous mourons, c'est pour le Seigneur que nous mourons. Ainsi, soit que nous vivions, soit que nous mourions, nous appartenons au Seigneur.
Frères et sœurs, c’est à la liberté que vous avez été appelés. Seulement, ne faites pas de cette liberté un prétexte pour suivre les désirs de votre nature propre. Au contraire, soyez par amour serviteurs les uns des autres.
Une femme oublie-t-elle l'enfant qu'elle allaite? N'a-t-elle pas compassion du fils qui est sorti de son ventre? Même si elle l'oubliait, moi je ne t'oublierai jamais. Vois! Je t'ai gravée sur mes mains. Tes murailles sont constamment devant moi.