Alors l’Eternel dit à l’Accusateur : Tous ses biens sont en ton pouvoir, ainsi que les siens, mais ne porte pas la main sur sa personne ! Alors l’Accusateur se retira de la présence de l’Eternel.
Avant tout, frères et sœurs, ne faites pas de serment, ni par le ciel, ni par la terre, ni par n’importe quoi d’autre. Que votre oui soit un vrai oui et votre non un vrai non, afin que vous ne tombiez pas sous le coup de la condamnation.
Ne vend-on pas une paire de moineaux pour un sou ? Et pourtant, pas un seul d’entre eux ne tombe à terre sans le consentement de votre Père. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. N’ayez donc aucune crainte, car vous, vous avez plus de valeur que toute une volée de moineaux.
C’est à l’Eternel votre Dieu que vous rendrez un culte, c’est lui que vous craindrez ; vous obéirez à ses commandements, vous l’écouterez, c’est à lui seul que vous rendrez un culte, et c’est à lui seul que vous vous attacherez.
Pour moi, j’ai confiance |en ta bonté. La joie remplit mon cœur |à cause de ton grand salut. Je veux chanter en ton honneur, |ô Eternel, tu m’as comblé de tes bienfaits.
Ne laissez aucune mauvaise parole franchir vos lèvres ; ayez au contraire des paroles empreintes de bonté, qui aident les autres à grandir dans la foi selon les besoins. Ainsi elles feront du bien à ceux qui vous entendent.
Puis il dit à tous : Gardez-vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d’un homme, si riche soit-il, ne dépend pas de ses biens.
Jésus parla de nouveau en public : Moi, je suis la lumière du monde, dit-il. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres : il aura la lumière de la vie.
Ne rendez pas le mal pour le mal, ni l’injure pour l’injure. Répondez au contraire par la bénédiction, car c’est à cela que vous avez été appelés, afin de recevoir vous-mêmes la bénédiction.
Car le figuier |ne bourgeonnera plus, et il n’y aura plus |de raisins dans les vignes, le fruit de l’olivier |trompera les espoirs, les champs ne produiront |plus de pain à manger. Les moutons et les chèvres |disparaîtront de leurs enclos, et les bovins de leurs étables. Mais moi, c’est à cause de l’Eternel |que je veux me réjouir, j’exulterai de joie |à cause du Dieu qui me sauve.
Le jeûne qui me plaît est celui qui consiste |à détacher les liens |de la méchanceté, à délier les courroies |de toute servitude, à mettre en liberté |tous ceux que l’on opprime et à briser |toute espèce de joug.