Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. Or, la terre était chaotique et vide. Les ténèbres couvraient l’abîme, et l’Esprit de Dieu planait au-dessus des eaux.
Tu m’as fait ce que je suis, et tu m’as tissé |dans le ventre de ma mère. Je te loue |d’avoir fait de moi |une créature |aussi merveilleuse : tu fais des merveilles, et je le reconnais bien.
Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit. Ils n’ont donc aucune excuse.
Ah ! Seigneur Eternel ! C’est toi qui as créé le ciel et la terre par ta grande puissance, et en déployant ta force. Pour toi rien n’est trop extraordinaire.
Ce que nous sommes, nous le devons à Dieu ; car par notre union avec Jésus-Christ, Dieu nous a créés pour une vie riche d’œuvres bonnes qu’il a préparées à l’avance afin que nous les accomplissions.
Ne le sais-tu donc pas ? Et n’as-tu pas appris que l’Eternel est Dieu |de toute éternité ? C’est lui qui a créé |les confins de la terre. Il ne se lasse pas, |il ne s’épuise pas, et son intelligence |ne peut être sondée.
Dieu fait toute chose belle en son temps. Il a implanté au tréfonds de l’être humain le sens de l’éternité, sans toutefois que l’homme puisse appréhender l’œuvre que Dieu accomplit du commencement à la fin.
Puis Dieu dit : Faisons les hommes de sorte qu’ils soient notre image, qu’ils nous ressemblent. Qu’ils dominent sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur les bestiaux sur toute la terre et sur tous les reptiles et les insectes.
L’Eternel a bâti |les marches de son trône dans le ciel ; il a fondé sa voûte |au-dessus de la terre : il convoque les eaux de l’océan, et les répand |sur la surface de la terre. Son nom est l’Eternel.
Ainsi, si quelqu’un est uni à Christ, il appartient à une nouvelle création : les choses anciennes sont passées : voici, les choses nouvelles sont venues.
Et toutes les créatures dans le ciel, sur la terre, sous la terre et sur la mer, tous les êtres qui peuplent l’univers, je les entendis proclamer : A celui qui siège sur le trône et à l’Agneau soient louange et honneur, gloire et puissance pour toute éternité.
En effet, « c’est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l’être », comme l’ont aussi affirmé certains de vos poètes, car « nous sommes ses enfants ».
Malheur à qui conteste |avec son créateur ! Qu’es-tu de plus qu’un pot de terre |parmi des pots de terre ? L’argile dira-t-elle |à celui qui la forme : « Qu’es-tu en train de faire ? » ou l’œuvre à son potier : |« Tu n’es qu’un maladroit ! » ?